Lou Maubert nous partage son expérience de 4 jours d’itinérance sur la Véloccitanie, du Seuil de Naurouze à Béziers.
Informations pour préparer un voyage en vélo électrique sur la Véloccitanie
Dates
Du 10 juin au 13 juin 2024
Quand partir
Idéalement, partez au printemps ou en automne. En effet, cela permet d’éviter les fortes chaleurs estivales, souvent difficiles à supporter à vélo, et de profiter de températures plus douces. De plus, ces périodes sont aussi moins fréquentées, ce qui rend l’expérience encore plus agréable.
Lieux
- Jour 1 : Départ de la gare de Villefranche-de-Lauragais, jusqu’au point de départ de la Véloccitanie (Seuil de Naurouze) en direction de Castres pour la première étape. 80 km avec 760m D+ et 770m D- en 4h40.
- Jour 2 : Départ de Castres jusqu’à Mons. Passage à Mazamet en empruntant la voie verte Passa Païs. 83km avec 630m D+ et 620m D- en 4h45.
- Jour 3: Départ de Mons jusqu’à Béziers (fin de la Véloccitanie), mais on continue jusqu’à Colombiers, où on passe la nuit. 93km avec 790m D+ et 960m D- en 5h22.
- Jour 4 : Départ de Colombiers jusqu’à la gare de Lézignan-Corbières pour rentrer en train jusqu’à Avignonet-Lauragais où notre voiture est garée. 57 km avec 230m D+ et 210m D- en 3h30.
Comment s’y rendre
Comme mes parents habitent dans le Gers, on s’est rendu en voiture jusqu’à notre point de départ (Villefranche-de-Lauragais). On a pu laissé la voiture garé sur le parking de la gare pendant tout le périple. Il est gratuit, ce qui signifie qu’il n’y a aucun problème pour s’y garer plusieurs jours. Ensuite, on est rentré en train depuis Lézignan-Corbières. Le trajet dure environ 50 minutes, il est possible de monter avec son vélo à bord (à indiquer en réservant votre billet). Cependant, attention : on a dû enlever toutes nos sacoches et accrocher nos vélos à la verticale sur des portants dédiés. Même les vélos électriques.. Si le train est bondé, ça devient vite très compliqué.
Participants
Lou Maubert et son père.
Passionnée de nature et de voyage, j’adore passer du temps dehors, découvrir et explorer. Petite, mes parents m’emmenaient en randonnée (souvent à contre-cœur)… Aujourd’hui, c’est moi qui propose à mon père de partir ensemble en itinérance à vélo. Les rôles se sont inversés ! Il m’a transmis le goût de l’aventure et du dépassement de soi. De nature créative, j’aime partager ces petites expéditions sur les réseaux sociaux, notamment Instagram et TikTok.
Où dormir
- Jour 1 : On a dormi au camping de la Gourjade à Castres. Comme on avait tous les équipements de bivouac, on a pris un emplacement tente pour 12,50 € à deux. Le camping est bien équipé, avec un coin pique-nique où on a pû utiliser notre réchaud. Par contre, il n’est pas situé au pied de la Véloccitanie, on a dû faire un petit détour pour s’y rendre.
Coordonnées du camping : 363 All. de Gourjade, 81100 Castres / 05 63 59 33 51 / Site web
- Jour 2 : Pour la deuxième nuit, on c’est arrêté au camping du Caroux à Mons. Il est situé à 10 min à pied de l’entrée des gorges d’Héric. Une fois installé, on a pu y faire un tour, très sympa pour une balade post-vélo. Pour cette nuit, on a loué la Caravane vintage, un hébergement insolite avec sa terrasse en bois. Étant en moyenne saison, on a payé 40 € pour la nuit. À savoir, le camping est situé sur le circuit de la Véloccitanie. Très pratique.
Coordonnées du camping : Le Verdier, 34390 Mons La Trivalle / 06 42 16 28 63 / Site web
- Jour 3 : Pour la dernière nuit, on a dormi au camping Les Peupliers à Colombiers qui possède le label Accueil Vélo. On a loué un cyclo lodge, spécialement dédié aux cyclistes. Très pratique quand vous n’avez pas envie d’emporter les équipements de bivouac. Le camping propose aussi un service de restauration.
Coordonnées du camping : 7, promenade de l’Ancien Stade 34440 Colombiers / 04 67 37 05 26 / Site web
Où se restaurer / se réapprovisionner :
Le site de la Véloccitanie répertorie tous les restaurants et commerces le long du circuit. De manière générale, l’itinéraire traverse des villages et des villes comme Mazamet et Castres, où il est facile de se réapprovisionner. Préparer son séjour.
Office de tourisme
Site officiel de la Véloccitanie
Caractéristiques
La Véloccitanie est un itinéraire cyclable de 237 km, qui rejoint d’un bout à l’autre, le Canal des 2 mers, en parcourant les terres du Lauragais, les paysages du Haut-Languedoc et les vignes du Faugérois et du Saint-Chinianais. Au fil du circuit, les paysages évoluent et laissent place à de nouveaux panoramas. Globalement, la Véloccitanie se fait sur piste cyclable (notamment sur la partie PassaPaïs entre Mazamet et Bédarieux), mais aussi sur route et chemins parfois. En termes de dénivelé, la Véloccitanie n’est pas très compliqué. Les côtes sont souvent en pente progressive, donc on ne les sent pas dans les mollets. C’est un itinéraire cyclable très accessible.
Quoi d’autre dans les environs
La Véloccitanie traverse quatre départements : la Haute-Garonne, le Tarn, l’Aude et l’Hérault. Il y a énormément de quoi faire aux alentours de l’itinéraire. Dans le secteur du Caroux, il est possible de faire plusieurs activités de plein air : canöe, accrobranche, etc. Les gorges d’Héric ne sont pas loin s’y vous souhaitez y faire un tour. Le site de la Véloccitanie recense les activités à faire à proximité.
Liens internets
Micro-aventure en vélo électrique sur la Véloccitanie

Première expérience en bikepacking
La Véloccitanie est mon tout premier itinéraire en bikepacking. J’ai toujours eu l’habitude de faire des sorties à vélo, mais jamais sur plusieurs jours. Un jour, mon père m’a proposé qu’on parte tous les deux pour une micro-aventure à vélo. Sans hésiter, j’ai dit oui. Quoi de plus beau que de partager ce genre de moment avec son père ? Le choix de la Véloccitanie était parfait : le départ est tout près de chez nous, et l’itinéraire est rapide, en quatre jours, c’était bouclé. Autrement dit, ni une ni deux, nous voilà partis sur les routes de la Véloccitanie.
Pourquoi en vélo électrique ?
On a choisi de faire cette itinérance en vélo électrique, tout simplement parce que… ce sont les seuls vélos que mes parents ont ! Finalement, c’était une super idée. En effet, on a pu installer des sacoches et éviter de porter toutes nos affaires sur le dos, un vrai plus. Et puis, il faut l’avouer : avoir un petit coup de pouce dans les montées ou à la fin de la journée, ça permet de profiter davantage des paysages sans finir sur les rotules. Bref, un choix pratique, et surtout bien adapté à une première expérience en itinérance.
Étape 1 de la Véloccitanie : Villefranche-de-Lauragais / Castres / 80 km
Pour notre première étape, on a quitté notre voiture garée au parking de la gare de Villefranche-de-Lauragais, direction le Seuil de Naurouze, point de départ de la Véloccitanie. L’itinéraire commence tranquillement au bord du Canal du Midi en Haute-Garonne. C’est tellement agréable de rouler sous les platanes, en croisant de quelques péniches de temps en temps. Ensuite, le circuit quitte le Canal pour rentrer dans les terres sur la voie verte de la Rigole de la Plaine du Lac de Lenclas à Revel. Cette partie est ombragée et longe un petit ruisseau jusqu’au lac. L’endroit est idéal pour un spot pique-nique. On a choisi de continuer la route pour se poser plus loin, au lac de Saint-Ferréol (après un détour de 5 km).


À la découverte du Tarn et son patrimoine
Après cette pause bien méritée, la route continue à travers les plaines et les villages du Lauragais. On est désormais dans le département du Tarn, à l’entrée de la cité de Sorèze, célèbre pour son abbaye-école. Ce village médiéval vaut le coup d’être traversé. Ça tombe bien, la Véloccitanie passe en plein milieu de Sorèze ! Ce qui vous laisse le temps d’admirer son patrimoine historique. Après un arrêt visite, on reprend la route, direction Castres notre premier arrêt.


En arrivant à Castres, la piste cyclable passe en plein centre-ville. L’occasion de découvrir le célèbre panorama des maisons colorées sur l’Agout. Pour rejoindre notre camping, on a dû quitté la Véloccitanie, qu’on retrouvera le lendemain matin. Sur le chemin, on s’est retrouvé face à la hantise des bikepackers (et surtout de ceux en vélo électrique). Un pont avec des escaliers très raides. À savoir que nos vélos sont très très lourds. Cet effort physique a été plus intense que toute la journée à pédaler. Un vrai cauchemar. Après cette mésaventure, on a pu planté notre tente au camping de la Gourjade et savouré un bon repas chaud.


Étape 2 de la Véloccitanie : Castres / Mons / 83 km
Pour cette deuxième étape, on a prévu 83km en s’arrêtant à Mons pour la nuit. Pour rejoindre Mazamet depuis Castres, on emprunte la voie verte du Chemin Blanc, qui offre un point de vue magnifique sur le causse de Caucalières, un site classé Natura 2000. Cette partie est très agréable, on roule au bord de villages qui ont su profité de la nature, principalement de l’eau, pour y développer la production de laine, cuir et textile. En arpentant les rues de Mazamet, on découvre les vestiges de cette époque industrielle, désormais révolu.
À partir de Mazamet, on emprunte la voie verte PassaPaïs, emménagé sur une ancienne voie ferrée de 76km, qui va jusqu’à Bédarieux dans l’Hérault. Dans la partie tarnaise, on alterne entre des passages ombragés en forêt et des longs tunnels. L’itinéraire est principalement plat avec une montée progressive en arrivant dans l’Hérault.


Le changement entre les deux départements est très marqué. Les paysages changent et on découvre au fil de la voie verte, un environnement plus méditerranéen. On roule dans le massif du Caroux, entre la garrigue, les cerisiers et les vignes. J’ai adoré cette partie car les paysages étaient magnifiques. J’avais envie d’observer tout ce qu’il y avait autour de moi. Pour cette étape, on c’est arrêté à Mons, au camping du Caroux. Une fois installés, nous avons pu faire un tour aux gorges d’Héric. C’était parfait pour une balade post-vélo.. Si vous avez le temps, c’est très sympa de s’y balader et pourquoi pas s’y baigner si le temps s’y prête !



Étape 3 de la Véloccitanie : Mons / Colombiers / 93 km
Pour cette troisième étape, on est partis de Mons, direction Colombiers, en passant par Béziers, qui sonne la fin de la Véloccitanie. Durant cet itinéraire, on a principalement roulé sur des petites routes, entourés de vignes et de champs, sous un grand ciel bleu. Cette partie était très agréable, mais aussi sportive, car la région est vallonnée, donc on enchaine pas mal de petites montées. Mais en vélo électrique, c’est très tranquille, on appuie pas trop sur les mollets.


En arrivant à Bédarieux, on quitte la PassaPaïs et on suit uniquement les panneaux de la Véloccitanie. Mais il nous est arrivé la hantise de tous les cyclistes. On c’est perdu… On a perdu la trace des panneaux de direction, donc on est parti sur la mauvaise route et on du faire un détour de quelques kilomètres. C’est pourquoi, il est important de toujours avoir un GPS avec soi, pour être sûr de votre orientation. Nous on utilise Komoot, qui nous a permis de trouver un itinéraire bis pour retourner sur la Véloccitanie.
Arrivée sur Béziers
Une fois sur la bonne route, on reprend la direction de Béziers, avec la mer à l’horizon. On traverse des vignes à perte de vues et des vestiges de construction en pierres sèches. L’arrivée à Béziers se fait via les neuf écluses de Fonséranes, jusqu’au centre-ville.



Béziers est une ville bien aménagée pour les cyclistes. Dans le centre-ville, on a eu droit à une petite récompense bien méritée ! Après avoir visité, on est reparti direction Colombiers, notre arrêt pour la nuit. On a décidé de prolonger notre itinéraire au delà de la Véloccitanie pour pouvoir rentrer plus facilement en train jusqu’à notre voiture. Pour cette partie là, on a principalement longé le canal du Midi et c’était très agréable ! Puis, on est arrivé au camping Les peupliers, près de la piste cyclable. On a opté pour un hébergement spécial vélo, avec une petite hutte en bois. Pile ce qu’il nous fallait pour notre dernière nuit du périple !



Étape 4 : Colombiers / Lézignan-Corbières / 57 km
Dernière étape de cette micro-aventure en vélo électrique, avec 57km jusqu’à la gare de Lézignan-Corbières. Pour cette partie, on a utilisé l’application Komoot pour nous trouver un itinéraire. Au début, on a emprunté la véloroute du Canal des 2 mers qui longe le Canal du Midi. Durant le trajet, on est passé par Le Somail, un endroit idyllique, qui abrite un port avec de nombreuses péniches, une chapelle et quelques restaurants. Un endroit incontournable, si vous y passez. À savoir que vous avez la possibilité de remonter jusqu’au départ de la Véloccitanie en remontant tout le Canal des 2 mers.



Ensuite, nous avons choisi de quitter le Canal du Midi pour faire un arrêt à l’Oulibo, une coopérative oléicole à Bize-Minervois. C’est une adresse qu’on connaît bien, où on a l’habitude de s’arrêter pour acheter des olives et de l’huile d’olive. Une très bonne adresse ! Une fois les sacs remplis de délicieux produits, on est reparti à travers les petites routes du Minervois, jusqu’à la gare de Lézignan-Corbières. Et c’est déjà le clap de fin pour cette micro-aventure de quatre jours sur la Véloccitanie et plus !
Conclusion sur la Véloccitanie

J’ai adoré faire cette véloroute à travers les paysages et les villages d’Occitanie. C’était une superbe découverte ! Même si je l’ai fait en vélo électrique, la Véloccitanie est un itinéraire accessible à tous, débutant comme plus avancé, car sans grande difficulté. En effet, le dénivelé positif est majoritairement sur des montées progressives très douce.
Par ailleurs, j’ai particulièrement aimé le fait de voir l’évolution des paysages entre chaque département. On ressent vraiment une différence tant dans la nature que dans l’atmosphère qui y règne. Je recommande donc vivement la Véloccitanie qui est une très belle découverte pour une première expérience en bikepacking sur quelques jours. Cela m’a donné envie d’en faire à nouveau et sur une plus longue distance !
Aussi, je suis très contente d’avoir fait la Véloccitanie en vélo électrique. C’est quand même un confort non négligeable, surtout quand on porte tout son matériel et ses bagages. Car cela m’a permis d’être plus sereine sur les efforts physiques et de pouvoir m’appuyer sur l’assistance électrique pendant les coups de mou.
Évidemment ce que j’ai beaucoup aimé durant cette micro-aventure, c’est de l’avoir partager avec mon père. Quelle expérience incroyable à vivre ensemble !
Matériel utilisé pendant notre itinéraire sur la Véloccitanie

Équipement vélo pour la Véloccitanie
CATEGORIE | NOM DU MODELE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT LE CHOIX DE CE MODELE DE DEPART ? | EST-CE QUE CE CHOIX A REPONDU A CETTE EXPERIENCE ? | SI C’ETAIT A REFAIRE ? |
VÉLO ÉLECTRIQUE (Lou, à ma mère) | 28 | Moustache | Parce que c’est le top du vélo électrique. Le guidon permet d’être droit sur le vélo, ce qui été essentiel pour ma mère. Il a aussi une bonne batterie qui tient sur la durée avec 200km d’autonomie. Marque française. | Parfait, il a tenu toute la journée sans avoir besoin de le charger. J’ai pu utiliser tous les modes de vitesse sans peur d’être à plat de batterie. | Oui |
VÉLO ÉLECTRIQUE (mon père) | Explorer | Lapierre | C’est une marque française. Il a une bonne autonomie de 150km. | Idem | Oui |
SACOCHE 1 | Rack pack 31L | Ortlieb | Modèle très résistant à l’eau et aux chocs. | Oui parfaitement, très bonne qualité. | Oui |
SACOCHE 2 | Back roller core 20L | Ortlieb | Modèle très résistant à l’eau et aux chocs. | Oui, sacoche de très bonne qualité. | Oui |
CASQUE | Décathlon | Matériel indispensable quand on fait du vélo. Premier prix Décathlon | Très bien, il fait son travail. | Oui |
Vêtements utilisé pour un la Véloccitanie
CATEGORIE | NOM DU MODELE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT LE CHOIX DE CE MODELE DE DEPART ? | EST-CE QUE CE CHOIX A REPONDU A CETTE EXPERIENCE ? | SI C’ETAIT A REFAIRE ? |
CUISSARD | Décathlon | Vêtement indispensable quand on fait du vélo pour pas avoir mal aux fesses | Parfait, je l’ai utilisé pendant les 4 jours. Il a bien tenu et m’a été très utile | Oui | |
POLAIRE | Décathlon | Premier prix Décathlon, plutôt confortable et chaud | Oui, je l’ai principalement utilisé le matin quand il faisait frais ou en descente lors des déplacements d’air | Oui | |
TEE-SHIRTS | Décathlon | Modèle très léger et anti-transpirant | Très bien, léger pour la chaleur et prend pas de place dans les sacoches | Oui | |
BRASSIÈRE | Décathlon | Bon maintient | Zéro gène pendant le périple, très confortable | Oui | |
BASKETS | Easytrail | Evadict | Premier prix chaussures de course à pied | Chaussures confortables, bon maintien | Oui |
Matériel utilisé pour un la Véloccitanie
CATEGORIE | NOM DU MODELE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT LE CHOIX DE CE MODELE DE DEPART ? | EST-CE QUE CE CHOIX A REPONDU A CETTE EXPERIENCE ? | SI C’ETAIT A REFAIRE ? |
TENTE | Hubba Hubba | Msr | Le top des tentes de trek, légère et imperméable | Parfaitement, son poids a été un plus pour notre périple | Oui |
SAC DE COUCHAGE | Ascent 500 | Rab | Très confortable, bien chaud et léger (1kg) | Génial, j’ai eu ni trop chaud ni trop froid. Le confort assuré ! | Oui |
TAPIS DE SOL | Neoair uberlite | Thermarest | Il pèse 250gr, très léger et résistant | Confort nécessaire pour ce genre de périple et poids parfait | Oui |
OREILLER | Oreiller de trek | Forclaz | Léger (130gr) et confortable | Parfait. Il prend pas de place et se glisse dans un coin de la sacoche | Oui |
RÉCHAUD GAZ | | Campingaz | Premier modèle pour le trek | Parfait, même si un peu lourd si cartouche de gaz pleine (on peut s’en passer) | Oui |
GAMELLES CUISINE | Décathlon | Kit de gamelles premiers prix | Kit léger et utile en itinérance | Oui | |
SAC DE PROTECTION | | Forclaz | Utile pour protéger ses vêtements de l’humidité | Rien à dire, très utile | Oui |
LAMPE FRONTALE | Petzl | On me l’a donnée | Très utile en voyage | Oui | |
SERVIETTE MICROFIBRE | Nabaiji | Légère et sèche rapidement | Parfait pour sécher rapidement avant de repartir, prend pas de place | Oui |