Tristan Marek nous partage aujourd’hui son expérience de 8 jours en autonomie de raid à ski en Laponie Suédoise avec pulka le long de la Kungsleden (Suède) accompagné de 3 amis.
C’est la deuxième expérience de Tristan sur la Voie Royale aussi appelée Kungsleden, sentier découvert à la suite de discussions avec d’autres voyageurs. Il racontera un périple de 7 jours autour d’Abisko, en Laponie suédoise, au-delà du cercle polaire arctique.
Informations pour préparer mon raid à ski sur la Voie Royale en Suède
Date :
Du 17 au 26 février
Quand Partir :
De mi-janvier à fin avril/début mai selon les conditions d’enneigement. La saison officielle du STF (organisme du tourisme suédois) commence le plus souvent début mars, les sentiers sont praticables avant, mais les refuges sont fermés et il n’y a pas de possibilité de ravitaillement. Seule une « emergency room » est alors accessible, ne laissant pas de places à plus de 3/4 personnes selon les refuges. Ce qui peut beaucoup changer la préparation de votre voyage, skier de refuge en refuge, sans porter le matériel de bivouac n’a rien à voir avec une expédition en autonomie sous tente.
Lorsque les refuges sont ouverts, ils permettent de profiter d’un ravitaillement parfois bienvenu (essence/gaz, nourriture ou autre) d’un lit au chaud et surtout de magnifiques saunas. Toutes les informations sur les refuges sont sur le site du Suède Tourisme Association STF.
De plus, plus l’on va vers le printemps plus les jours sont longs et les températures clémentes, étant au-delà du cercle polaire arctique, même en février les jours sont courts.
Lieu
Départ et arrivée d’Abisko (en Laponie suédoise, juste en dessous du Sarek et au-delà du cercle polaire arctique) dans notre cas. Nous avons choisi un itinéraire en boucle pour faciliter la logistique avec le matériel de location, et cela nous a permis d’emprunter d’autres sentiers moins fréquentés. Abisko, est aussi très réputé pour l’observation d’aurores boréales, et beaucoup de voyageurs ne quittent pas vraiment l’endroit.
Il est toutefois possible de parcourir la Kungsleden d’Abisko à Hemavan. En hiver, le tronçon Abisko-Kebnekaise est le plus fréquenté, il est possible de louer du matériel facilement aux deux endroits. (Skis, tentes, pulkas…) Il est possible de louer du matériel à Abisko et de le rendre à Kiruna moyennant un surplus.
A noter que de Kiruna, il vous faudra rejoindre Nikkaluokta en bus pour retrouver la Kungsleden, les bus n’opèrent le plus souvent qu’à partir de Mars.
Comment s’y rendre ?
Selon le temps que vous avez à votre disposition, il existe plusieurs options.
- Paris-Abisko
– Le train/bus
Il existe un train de nuit reliant Paris à Stockholm. Ensuite vous n’aurez qu’à prendre un second train qui vous amènera à Kiruna pour une journée de plus. Une fois arrivé à Kiruna, des bus et trains réguliers peuvent vous amener à Abisko en une heure. Attention toutefois, certains jours très peu de bus/trains sont disponibles, notamment le dimanche.
L’avion
Kiruna dispose d’un aéroport. C’est d’ailleurs l’aéroport situé le plus au nord de la Suède.
Vous pourrez donc facilement trouver des vols Paris-Kiruna en passant par Stockholm.
Arrivé à Kiruna, il existe des bus directs pour Abisko, ou des bus rejoignant la gare ferroviaire de Kiruna ou vous pourrez prendre un train pour Abisko.
- Hemavan – Paris
Le train/bus
Depuis Hemavan, vous pourrez prendre un bus qui vous amènera à Umeá puis un train qui vous amènera à Stockholm.
Une fois à Stockholm, vous pourrez à nouveau prendre le train de nuit.
L’avion
Hemavan dispose d’un petit aéroport ou la compagnie aérienne Amapola Flyg opère un vol quotidien (ou presque) vers Stockholm, d’où de nombreux vols existent vers Paris.
Participants à ce raid à ski en Laponie Suédoise :
Pour cette aventure, nous serons 4 amis, Victor, Mattéo, Cyprien et moi. Pour victor et moi ce sera la deuxième fois en Laponie, et nous servirons de « guide » à Mattéo et Cyprien.
Ou dormir en Suède :
Il existe de nombreux refuges et abris tout le long de la Kungsleden, plus particulièrement sur le tronçon entre Abisko et le Kebnekaise, il y a un refuge tous les 15 à 25 km, soit environ une journée de skis. Même les refuges fermés on y trouve une petite « emergency room », c’est l’endroit idéal pour débuter dans ce genre d’expédition avec un filet de sécurité.
Nous avons été obligés de partir hors saison, et avons donc bivouaquer à chaque fois. Nous avions loué la tente au STF, et cela se passe très bien avec le matériel adapté, même pour une première fois !
Où se restaurer/où se réapprovisionner en Suède :
Vous n’aurez pas beaucoup de choix, les ravitaillements ne sont pas très nombreux le long du sentier. Les refuges lorsqu’ils sont ouverts présentent presque tous une petite épicerie, et lors de traversée de certaines « villes » des supermarchés sont disponibles. Nous n’avions pas d’autre choix que d’être autonomes en nourriture, mais cela s’est passé sans problème. Pensez malgré tout à avoir un peu de marge, il n’est pas rare qu’une tempête puisse vous ralentir, voir vous bloquer pendant quelques temps.
Pour l’eau, vous en avez plus que nécessaire à disposition évidemment, pendant ce genre d’expédition on passe son temps à faire fondre de la neige.
Caractéristiques de la Kungsleden :
La Kunglseden est un sentier de randonnée relativement connu en Suède. L’itinéraire mesure près de 460km et relie Abisko à Hemavan. Le sentier n’est pas très technique, ce qui peut le rendre difficile, surtout en hiver, sont les conditions météo difficiles et l’isolement. En hiver, les températures oscillent le plus souvent entre -10 et -30°C, sans compter le vent qui peut souffler très fort. Le risque d’engelure ou de gelure est bien présent (surtout en dormant sous tente) et il convient d’y faire attention.
En hiver, la pulka est un accessoire presque indispensable, elle permet de transporter plus facilement le matériel nécessaire à un bivouac hivernal. Cela permet d’éviter des sacs à dos pesant autour de 30kg.
Les obstacles sur le parcours
Les lacs :
Sur le parcours, vous aurez plusieurs lacs gelés à traverser, le plus souvent un chemin est balisé, et vous pouvez suivre les traces de motoneige, mais les traversées sont à vos risques et périls comme le rappellent les panneaux aux abords de chaque lac. Les températures plus fraîches de la nuit permettent souvent d’avoir de meilleures conditions pour les traverser, assurez vous d’avoir vos skis aux pieds, ceux-ci répartiront mieux la charge de votre poids.
Les rivières :
Normalement, en hiver les rivières sont entièrement gelées, mais il peut arriver, lorsque les températures sont (trop) clémentes qu’elles ne le soient pas. Il convient alors de faire attention, et de traverser avec précaution. Comme pour les lacs, on préférera le matin et les skis aux pieds pour les traverser.
Les avalanches :
Sur le parcours normal il n’y aucun ou presque risque d’avalanche. En revanche les sentiers un peu moins fréquentés peuvent être sujet aux avalanches, dans ce cas si l’on pense ne pas être compétent il vaut mieux renoncer. Les gardiens de refuge sont souvent de bons conseils, et reçoivent un bulletin météo quotidien.
Quoi d’autre dans les environs d’Abisko :
Autour d’Abisko il est possible de pratiquer de nombreuses activités du Grand Nord, on retrouve du ski de fond, de randonnée, du ski alpin, du chien de traîneau, de la cascade de glace, de la motoneige, observer les aurores boréales et encore bien d’autres.
Et si l’hiver ne vous inspire pas pour réaliser ce magnifique itinéraire suédois, vous pouvez l’envisager l’été. Nous vous conseillons pour plus d’informations sur cette randonnée estivale de la kungsleden de lire cet article :
ou celui de Gregory sur son expérience de 7 jours de rando dans le parc du Sarek :
Lien internet :
Pour plus de renseignement, l’office de tourisme suédois est très utile.
Raid à ski en Suède sur la Kungsleden ou La Voie Royale
8 jours de marches en Laponie Suédoise en hiver
Fasciné depuis longtemps par les environnements et expéditions polaires, un jour je tombe sur un film montrant la Kungsleden en hiver. Quelques recherches plus tard, et c’est décidé, l’hiver prochain j’irai faire une partie de ce sentier, et me confronter à un environnement arctique !
J’en parle à quelques amis, sans rencontrer beaucoup de succès, mais finalement l’un d’entre eux accepte de venir avec moi ! On aura beaucoup de galères, mais l’expérience nous plait.
Puis cet hiver, nous décidons d’y retourner, fort d’un peu plus d’expérience pour en profiter un peu plus, et retrouver ces sensations particulières. Cette fois, nous serons 4, avec toujours quelques galères, mais nous sommes plus rôdés et parvenons à faire ce que l’on voulait !
Le début de l’expédition
près avoir récupérer et préparer le matériel, on demande aux guides sur places les conditions de neige, et les chemins à emprunter ou non.
Avec ces informations on planifie une boucle de 7j de marche autour d’Abisko. On empruntera la Kungsleden pour une bonne partie, mais on aura aussi à tracer notre voie dans une belle traversée entre deux vallées.
Enfin, c’est le grand départ ! On est heureux de commencer enfin à marcher et de pouvoir profiter de ces superbes endroits !
Alesjaure en ligne de mire
Alesjaure est un refuge au sud d’Abisko, c’est à partir de la que l’on traversera pour atteindre l’autre vallée ; le refuge est à 40 km d’Abisko, soit deux jours de marche. Au début, les températures sont trop chaudes (autour de -3/-5°C) ce qui nous vaudra de belles frayeurs, lorsque les lacs mal gelés craqueront sous nos pieds, heureusement pas de baignade improvisée !
Mais heureusement, le matin suivant, il fait un bon -20°C, ce qui nous rassure pour les prochaines traversées !
Les conditions sont bonnes et on avance sans problème en direction du refuge point le plus au sud de cette traversée. Nous l’atteindrons finalement vers 17h, et on installe alors vite la tente. Sous la tente on prépare la journée du lendemain qui ne s’annonce pas facile, une bonne ascension pour atteindre le col et une bonne traversée pour arriver dans l’autre vallée.
Traces dans la neige immaculée
On attaque assez vite le matin, l’ascension, 500m de dénivelé avalé en quelques kilomètres.
Une fois arrivé en haut, on découvre les paysages pour lesquels on est vraiment venus, aucune trace à perte de vue, juste les montagnes, la neige, et quelques rennes qui passent.
On avance en faisant la trace à tour de rôle. On se croirait en Antarctique, mais malgré cela quelques avalanches récentes nous incitent à rester prudent. Le déjeuner sera vite avalé car le vent nous refroidit, et on repart sans tarder. Nous tombons alors sur ce qui sera finalement le plus gros obstacle de la journée, plusieurs descentes, très raides, vent de glacé de face, ce même vent qui a cartonné la neige et rend chaque appui fuyant. On enlève les skis et on descend tant bien que mal, en faisant bien attention de ne pas se laisser pousser dans la pente par les pulkas.
La reste de la journée se passe sans encombre et on est heureux de monter la tente après tout cela. Bien que la plus difficile, c’est aussi la journée que nous avons tous préférés.
Le début du retour
La traversée faite, on repart en direction du nord et d’Abisko. La voie est tracée et la progression est plus facile, mais les températures chutent, on se réveillera plusieurs fois par -25°C. Les pieds souffriront et je devrais même frictionner les pieds d’un ami pendant plusieurs minutes pour les réchauffer avant qu’il ne gèle… Il en sera quitte pour une légère perte de sensibilité sans gravité. Au moins, cette fois, les rivières sont bien gelées et nous n’avons plus d’appréhension à traverser. Une nuit les températures descendront même jusqu’à -30°C ! Nos sacs de couchage (test ici) seront tout juste à leur limite, mais on passera de bonnes nuits, et le ciel clair nous permettra de voir les fameuses aurores boréales.
Abiskojaure et le retour
Sur le retour, on passe à nouveau devant Abiskojaure, cette fois le refuge est ouvert. On ne résiste pas longtemps, et prenons une nuit à l’intérieur. Cela nous permet surtout de profiter du magnifique sauna à bois à côté du lac gelé… On discute de la suite de l’itinéraire avec les gardiens, qui nous déconseillent une autre traversée. Les conditions sont maintenant trop avalancheuses (il y a eu un accident plus au sud). Alors, nous décidons rentrer alors tranquillement vers Abisko en profitant d’une dernière nuit sous la tente avant le retour à la civilisation. On serait bien resté quelques jours de plus dans ces magnifiques paysages du grand nord.
Conclusion sur mon raid à ski sur la Kungsleden en Laponie Suédoises
Une fois de plus nous avons tous adoré ces quelques jours passés en Laponie suédoise. Le terrain de jeu est magnifique et permet de débuter facilement dans cet environnement des expéditions en milieu « polaire ». On y reviendra avec plaisir dans quelques temps, et on le quitte à regret, mais avec plein de belles images en tête.
Matériel utilisé durant mon raid à ski en Laponie Suédoises
Matériel utilisé pour bivouaquer en hiver
CATEGORIE | NOM DU MODELE | MARQUE | Pourquoi avoir fait le choix de ce modèle au départ ? | Est ce que ce choix a répondu à cette expérience sur la Kungsleden? | Si c’était à refaire ? |
Tente | Nallo 4 GT | Hilleberg | Ce Modèle de tente Hilleberg est proposé à Abisko à la location et utilisé dans de nombreuses expéditions polaires | Parfaitement, cette tente est très solide et pratique pour ce genre d’expédition. | e repars avec sans hésiter, mais je recommande d’être 3 maximum pour plus de confort. |
Matelas | Prolite Apex | Thermarest | Principalement pour sa bonne isolation (R-value de 3,8) et son prix correct | Parfaitement, l’isolation et le confort étaient très bons | Je repars avec sans hésiter |
Tapis de sol | MT500 | Forclaz | Pour son rapport qualité/prix et sa praticité d’utilisation | Parfaitement, l’isolation était bonne et il est pratique à utiliser. | Je repars avec sans hésiter. |
Sac de couchage | Makalu Down III | Simond | Pour sa température de confort et son prix réduit | Parfaitement, j’ai dormi bien au chaud par -30°C avec un drap de sac et en t-shirt collant, pas mal pour un sac à un peu plus de 300€ ! | Je repars avec sans hésiter et vous pouvez retrouver le test complet ici. |
Sac de secours alpinisme | – | Decathlon | Permet une meilleure isolation au besoin, et surtout peut aider à passer une nuit dehors en cas de problème | Je n’en ai finalement pas eu besoin (et tant mieux) | Je n’en ai finalement pas eu besoin (et tant mieux) |
Oreiller | Air basic | Quechua | Pour sa légerèté ! | Oui, mais j’ai de plus en plus tendance à m’en passer. | Non, mais parce que je m’en passe désormais (je mets ma doudoune, mes chaussons en duvets et les autres vêtements dans le sac de compression de duvet et je m’en sers d’oreiller). Je dors bien et perds moins mes affaires dans la tente. |
Lampe de camp | BL 50 | Quechua | Pour se passer un peu des frontales dans la tente | Oui, la batterie est bonne malgré les températures | Je repars avec sans hésiter |
Lampe frontale/ headlight | HL 900 USB V2 | Forclaz | Pour son rapport/qualité prix et sa batterie amovible et remplaçable par des piles | Oui, comme sur toutes mes précédentes expéditions | Je repars avec sans hésiter |
Chaussons duvet | Cirrus Hut boot | Rab | Bon rapport qualité/prix et la semelle qui permet de marcher | Oui très bien ! Bien chaud, même pour moi qui suis frileux des pieds | Je repars avec sans hésiter |
Draps de sac | Reactor | Sea to Summit | Pour le gain de chaleur que cela permet | Parfaitement ! Comme sur toutes mes aventures, le gain de chaleur est réel, mais moindre que ce qu’annonce la marque | Je repars avec sans hésiter |
Réchaud à essence | XGK | MSR | Le réchaud à essence a un bien meilleur rendement même par de basses températures. | Aucun problème avec ce réchaud | Je repars avec sans hésiter |
Pelle à neige | Pelle avalanche metal – SKI-MO | Wedze | Pour sa robustesse et sa simplicité d’utilisation | Parfaitement ! Une pelle robuste est importante, on l’utilise beaucoup dans ces conditions | Je repars avec sans hésiter |
Brosse a neige | – | Peu importe | l faut juste une brosse quelconque pour brosser la neige/givre qui s’accumule sur la tente et sur les vêtements | Aucun soucis | Je repars avec sans hésiter |
Boule quies | – | – | Pour mieux dormir s’il y a beaucoup de vent ou si le voisin ronfle | Je n’en ai finalement pas eu besoin sur cette expédition | Je repars avec sans hésiter |
Les vêtements utilisés pour le grand froid
Veste en gore-tex | Triolet | Patagonia | Car c’est celle que j’utilise depuis plusieurs années | Oui très bien, la veste est très robuste et les poches sont pratiques (surtout les poches intérieures pour garder les gants au chaud par exemple) | Je repars avec sans hésiter |
Surpantalon | SUR-PANTALON imperméable d’alpinisme homme | Simond | Pour ses poches et la possibilité de l’enfiler skis ou crampons aux pieds. A utiliser lorsque le vent souffle très fort. | Je n’en ai pas finalement pas eu besoin sur cette expédition | Je repars avec sans hésiter |
Doudoune (en duvet) | ALPINISM LIGHT | Simond | Pour sa compacité et son bon apport de chaleur | Oui très bien, je n’ai jamais eu froid et la doudoune parait robuste | Je repars avec sans hésiter |
Doudoune (en synthétique) | MT 100 | Quechua | Pour son léger apport de chaleur, et pouvoir la porter en activité (le synthétique craint moins l’humidité que la plume) | Je n’en ai finalement pas eu besoin en activité, mais sans que cela soit un réel besoin elle m’a apporté un peu plus de chaleur (très agréable) lors des soirées les plus froides | Je repars avec sans hésiter |
Polaire | R1 | Patagonia | Pour l’apport de chaleur et le confort | Oui très bien elle est super confortable. | Je repars avec sans hésiter, mais une polaire entièrement zippé serait plus pratique sous la tente. |
Première couche | Tee-Shirt seamless Manches longues en laine homme – ALPINISM | Simond | Pour le confort, et la laine mérinos qui permet de le porter plusieurs jours sans problème | Oui parfaitement | Je repars avec sans hésiter. |
Pantalon softshell | PANTALON ALPINISME HOMME – ALPINISM NOIR | Simond | Pour son apport de chaleur et ses ventilations intégrées | Oui parfaitement ! | Je repars avec sans hésiter |
Collants en laine merinos | MT500 | Forclaz | Pour la chaleur et l’aspect anti-odeur | Ce collant a très bien rempli son rôle | Je repars avec sans hésiter |
Collant en polaire | BL 500 | Wedze | Pour avoir un apport de chaleur en plus au besoin, et pour avoir un collant de rechange | Je n’ai pas eu à l’utiliser | Je repars avec sans hésiter |
2 caleçons merinos | Sous-vêtement boxer en laine mérinos de trek montagne MT500 | Forclaz | Pour le confort (pas de couture mal placée) et l’aspect anti-odeur | Le confort est excellent et je n’ai eu aucun souci. | Je repars avec sans hésiter |
Gants fin soie | Sous-gants en soie de trekking montagne – MT 500 | Forclaz | Pour avoir une première couche en permanence sur les mains | Oui je ne les ai quasiment jamais enlevé et j’étais très bien avec | Je repars avec sans hésiter |
Gants alpinisme | GANTS D’ALPINISME IMPERMÉABLE – SPRINT | Simond | Pour avoir des gants un peu isolants mais avec une bonne dexterité | Oui, les gants ont très bien rempli leur rôle, pour les petites tâches sous la tente par exemple | Je repars avec sans hésiter. |
Moufles chaudes | Moufles grand froid 3en1 de trek – Artic 900 -30 °C | Forclaz | Pour avoir des gants vraiments isolants en cas de température très froide, et aussi pour les tester pour de futures expéditions | Je n’en ai finalement pas vraiment eu besoin, les températures n’étaient pas assez froides. | e repars avec sans hésiter |
Gants de skis | SUPER RADIATOR II | Level | Pour avoir des gants chauds mais plus pratique à utiliser | Oui, parfaitement, ce sont les gants que j’ai le plus porté | Je repars avec sans hésiter |
bonnet | Workman hat | 66° North | Pour avoir un bonnet tout simplement ! | Oui le bonnet est très confortable, et c’est important on ne l’enlève quasiment jamais, même pas pour dormir | Je repars avec sans hésiter. |
cagoule alpinisme | CAGOULE coupe-vent – MAKALU Noir | Simond | Pour se couper du vent et protéger aussi le visage | Oui, cela protège bien le visage du vent. | Je repars avec sans hésiter |
2 tours de cou / buffs | Tour de cou – ALPINISM BLEU | Simond | Parce que ça sert toujours ! En avoir deux permet de toujours en avoir un sec. | Oui parfaitement | Je repars avec sans hésiter |
chaussettes chaudes bivouac | Grande Jorasses | Monnet | Pour leur très bonne chaleur. | Ces chaussettes n’ont servi qu’au bivouac et permettent d’avoir les pieds bien au chaud. | Je repars avec sans hésiter |
Chaussettes d’alpinisme | Chaussettes d’alpinisme – ALPINISM noires | Simond | Pour leur chaleur et leur confort | Oui, bien que pas tout à fait assez chaudes pour les températures les plus froides, surtout en statique. | Je repars avec sanas hésiter. |
VBL socks | VBL Socks | Exped | Pour ne pas humidifier les chaussures, et donc éviter qu’elles gèlent ensuite. | Oui, les chaussures restent bien sèches. | Je repars avec sans hésiter. |
Masque de ski | N’existe plus | Lhotse outdoor | Pour se protéger les yeux du soleil et/ou du vent. Avec plusieurs écrans pour adapter selon la météo | Oui, le masque ne prend pas de buée et le changement d’écran est très pratique. | Je repars avec sans hésiter. |
2 paires de luntette de soleil / sunglasses | Lunettes de soleil haute montagne PHOTOCHROMIQUES CATÉGORIE 2->4 | Simond | Pour se protéger les yeux du soleil lors des journées clémentes. La révérbération du soleil sur la neige peut causer des ophtalmies des neiges. Une deuxième en cas de casse/perte. | Oui, même si je les trouve un peu foncées lorsque le soleil se masque un peu. | Je repars avec sans hésiter. |
Le matériel de ski nordique pour la Kungsleden en Suède
Chaussures de skis nordiques | Polar A/P/S | Alfa | Pour son bon apport de chaleur, la guêtre intégrée et le chausson isolant amovible qui est aussi thermoformable (très appréciable pour moi qui ait toujours mal aux pieds) | Oui, ces chaussures sont parfaites. Elles sont même utilisées lors d’expédition en Antarctique | Je repars avec sans hésiter. |
Skis | Amundsen Fram Waxless | Asnes | Skis disponibles à la location à Abisko, et utilisés pour de nombreuses expéditions. | Oui parfaitement. | Je repars avec sans hésiter. |
Pulka et harnais de traction | Xcountry 144 | Fjellpulken | Pour la bonne glisse et la capacité de la pulka | Oui parfaitement, en revanche la pulka n’apprécie pas les dévers et à tendance à se retourner. | Je repars avec sans hésiter. |
Peaux de phoques | – | – | Pour l’accroche lors des montées, et adaptables aux skis. | Oui parfaitement, même si quelques décollages à noter. | Je repars avec sans hésiter. |