Emilie Bray nous partage son expérience de 3 jours en VTT en Gruyère en Suisse.
Informations pour préparer 3 jours de VTT en Gruyère
Date de ce séjour VTT en Gruyère
Du samedi 16 au lundi 18 juillet 2016.
Lieu
Ce séjour se passe en Gruyère en Suisse.
Pour y aller : depuis Grenoble, la Gruyère est accessible en à peine 3h de voiture. Adepte de la mobilité douce, je m’y rends toujours en train. De Grenoble, prendre le train jusqu’à Genève. De là, prendre ensuite un train pour Lausanne en n’oubliant pas d’acheter également un ticket pour le vélo car en Suisse, ce service est payant.
Participants au séjour VTT en Gruyère
Juste moi ! Habituellement, je n’aime pas les périples solitaires, mais j’ai dû faire une exception cette année, mon partenaire de voyage adoré ayant eu la mauvaise idée de se faire une fracture du calcaneum au début de l’été.
Où dormir en Suisse ?
Les possibilités de logement en Gruyère sont nombreuses, de l’hôtel à la nuit sur la paille dans des chalets d’alpage. Je vous conseille de visiter le site internet de tourisme de la Gruyere qui délivre toutes les informations nécessaires à l’organisation d’un séjour rando et VTT en Gruyère.
De mon côté, préférant un confort rustique, j’ai choisi de passer ma première nuit dans la buvette d’alpage du Gros Plané, à 1476 m d’altitude. Quant à la deuxième nuit, je ne savais tout simplement pas où loger. J’ai donc improvisé et j’ai demandé l’hospitalité dans un chalet d’alpage privé. C’était la première fois que je tentais cela en voyageant seule et je n’ai pas regretté. Parfois, il faut juste oser se lancer et croire en sa bonne étoile : les gens ne sont pas si individualistes et méfiants qu’on le pense !
Où se restaurer/où se réapprovisionner en Gruyère ?
De même que pour les hébergements, en Gruyère, il existe un réseau très fourni d’endroits pour se restaurer, et notamment les buvettes d’alpages où il est possible de manger et parfois même de dormir. Ces buvettes sont extrêmement nombreuses en montagne et on y mange très bien. C’est une solution idéale pour se restaurer dans un cadre magnifique tout en dégustant les spécialités culinaires de la région. Mon menu préféré ? Des macaronis de chalet et des meringues à la double crème en dessert !
Office du tourisme
Caractéristiques de Gruyère
Jour 1 :
à vélo, de Lausanne au Gros Plané : 54 km et 1556 m D+. Cet itinéraire part de Lausanne, au bord du lac Léman pour progressivement monter en altitude, rejoindre la Gruyère et se hisser à la buvette du Gros Plané à 1476 m, au pied du Moléson, le sommet emblématique de la région.
Jour 2 :
à pied, rando en boucle en passant par le Moléson et la crête de Tremetta : 9,5 km et 617 m D+ ; à vélo, du chalet du Gros Plané aux Paccots : 13 km et 350 m D+. Du refuge, l’itinéraire monte d’abord tranquillement, puis dans une pente plus soutenue jusqu’au sommet du Moléson. Pour éviter de redescendre par le même chemin, une variante plus longue et très jolie consiste à emprunter la belle crête de Tremetta, puis, sur la fin, de retourner au Gros Plané par une large piste. De retour au refuge, j’ai récupéré mon vélo pour continuer mon périple, cette fois-ci en utilisant enfin les possibilités de mon VTT. J’ai emprunté des sentiers pédestres autant que possible, puis j’ai suivi un itinéraire VTT en direction de Vevey, au bord du lac.
Jour 3 :
à vélo, du refuge de mes hôtes jusqu’à Lausanne : 39 km et 212 m D+ et beaucoup plus de D- puisqu’il fallait rejoindre les rives du lac Léman. Du refuge, j’ai continué sur l’itinéraire VTT dans des paysages verdoyants et bucoliques à souhait. Malheureusement, sur cette portion, l’itinéraire VTT emprunte une route goudronnée. Point positif cependant : la route est quasi inutilisée par les voitures.
Quoi d’autres dans les environs ?
Il y a tellement de choses à faire dans cette région qu’il est impossible d’en faire la liste. C’est un paradis pour les activités de montagne : rando, escalade, alpinisme, vélo, ski, etc.
Et si la météo est mauvaise :
- pour les amateurs de bien-être, allez vous détendre dans les bains de Charmey
- pour les fondus de chocolat, faites un tour à la chocolaterie Cailler de Broc
- Pensez aux habits imperméables
Liens internet
La Suisse dispose de plusieurs sites internet extrêmement complets sur son réseau d’itinéraires cyclables et de sentiers pédestres :
3 jours en Suisse de rando à pied et VTT en Gruyère
Je pars de Grenoble en train jusqu’à Lausanne, sur les rives du lac Léman, en faisant une halte par la gare de Genève. Je regarde s’éloigner mes montagnes familières de Chartreuse et de Belledonne. Sur le lac d’Aix-les-Bains, des pêcheurs matinaux s’affairent déjà. J’arrive à Genève sous un ciel radieux, seulement ponctué de quelques cumulus débonnaires qui chapeautent les sommets environnants du Jura. La bise souffle tempétueusement et rafraîchit l’atmosphère : tant mieux, ce ne sera que plus agréable pour rouler.
L’étape du jour m’emmène jusqu’en Gruyère. A Lausanne, je me perds dans le dédale des rues. Des passants bienveillants viennent à ma rescousse et m’indiquent l’itinéraire à suivre pour sortir de la ville. Ca monte dur et après 30 minutes de grimpette urbaine, je me retrouve bien vite dans la pampa, version riviera suisse, composée de champs, de fermes, de paisibles vaches paissantes et surtout de cette vue saisissante sur le lac Léman cerné de montagnes.
La bise, très forte, ne me laisse aucun répit : je suis freinée et parfois même déséquilibrée par de grosses rafales. Le paysage déroule ses rubans verts et jaunes, ponctués ça et là par quelques fermes isolées arborant bien souvent un drapeau suisse flottant au vent. L’apparition de poyas sur le fronton des fermes indique que je rentre en terres gruèriennes.
Les poyas désignent des peintures naïves qui représentent la montée à l’alpage. Autre élément significatif : le Moléson est maintenant bien en vue. Ce sommet est la montagne emblématique de la région, celle qui sert de toile de fond au village médiéval de Gruyères.
L’objectif du jour se rapproche, mais il me reste maintenant à gravir la petite route qui serpente entre alpages et forêts et qui mène au Gros Plané, une buvette d’alpage typique où la carte fait la part belle aux spécialités culinaires locales. Par spécialités locales, comprenez, plat à base de fromage.
Toutes les déclinaisons sont possibles : croûte au fromage, fondue au vacherin, fondue moitié-moitié, etc. J’arrive enfin au chalet : la terrasse est noire de monde, en ces premiers vrais jours de beau temps, je m’installe au calme et au chaud à l’intérieur pour un bon repas venant récompenser mes 55 km et mes 1600 m D+.
La nuit au dortoir n’est pas de tout repos. Pour une fois, j’ai été prévoyante car j’ai pensé à prendre des boules Quiès. Sage décision ! Malgré les bouchons d’oreille, je parviens à entendre dans le lointain une belle collection de ronfleurs. Le plus puissant d’entre eux se trouve être mon voisin, qui dort à environ 50 cm de moi. J’apprendrai le lendemain par la bouche même de l’intéressé qu’il est chanteur lyrique. Un sacré coffre en effet !
Le Sommet du Moléson en Gruyère
Pour ce deuxième jour, j’ai pour objectif de monter au sommet du Moléson et de continuer sur la crête de Tremetta pour enfin redescendre vers le Gros Plané. Mais avant toute chose, un solide petit-déjeuner m’attend. Au menu : de belles tranches de pain brioché, du beurre maison, du fromage (du Gruyère évidemment), de la confiture et du jus d’orange. De quoi avoir assez d’énergie pour tenir toute la journée ! Il est 10h, à 1480 mètres d’altitude et il fait déjà bien chaud. Je monte au pas de course au Moléson et y parvient en moins d’une heure. Le sommet est desservi par un téléphérique, ce qui en fait une montagne très accessible et donc très fréquentée. En ce dimanche de juillet, il y a foule.
Il faut dire que le panorama à 360° est splendide. Au-delà du paysage, l’attention se porte aussi sur des funambules marchant sur des highlines tendues entre la montagne et la station de téléphérique. Je m’assieds un moment pour profiter de la vue quand des joueurs de cors des Alpes arrivent derrière moi. Il va y avoir du spectacle ! Tandis que les musiciens entonnent un air traditionnel, le lanceur de drapeau assure le show avec des lancers parfois ambitieux. Le drapeau tombe à plusieurs reprises, mais cela n’entame pas la motivation du vieil homme.
Après ce petit concert totalement inattendu, je repars en direction de la crête de Tremetta pour fuir la foule du sommet. Et en effet, il n’y a bientôt plus que quelques randonneurs sur le sentier. Le chemin de crête est superbe et me fait presque regretter de ne pas être venue à VTT.
L’après-midi est déjà bien entamée lorsque je rentre au chalet d’alpage où j’ai laissé mon vélo. La veille, j’ai appris que mon plan initial tombait à l’eau. Je voulais dormir une deuxième nuit au chalet mais j’apprends que ce n’est pas possible le dimanche soir. Je vais devoir trouver une solution car j’ai fait le choix de ne prendre ni tente, ni matelas de sol afin de voyager léger. J’ai juste un drap de soie tout fin au fond de mon sac. Je ne m’inquiète pas, il est encore tôt et la nuit tombe vers 21h30, ce qui me laisse encore du temps pour trouver un endroit où dormir.
Direction Paccots, en Gruyère
Je poursuis mon chemin vers les Paccots, d’abord par une piste caillouteuse assez large, puis par un joli petit single repéré au dernier moment. Le sentier, en pente douce, serpente en sous-bois. Puis je sors de la forêt et me retrouve sur un chemin mangé par une végétation extrêmement dense. J’arrive aux Paccots en milieu d’après-midi, bien contente d’avoir découvert un joli single.
Un panneau indique une auberge située au bord d’un lac dans une zone protégée. Je me fais une représentation mentale idyllique du lieu et j’imagine déjà pouvoir y passer la nuit. Après une montée soutenue pendant près d’une demi-heure, j’arrive enfin près du lac et déchante immédiatement. La petite auberge est très touristique et les tarifs, prohibitifs. Néanmoins, je décide de rentrer et de demander conseil, sait-on jamais… La serveuse, sympa, appelle quelques chalets d’alpage proposant de dormir sur la paille pour une somme modique, mais il n’y a de place nulle part. Sourire au lèvre, elle me conseille de trouver un arbre et de l’herbe moelleuse pour dormir à la belle.
D’ordinaire, c’est une chose que j’apprécie, mais certainement pas toute seule ! J’enfourche à nouveau mon VTT, bien décidée à poursuivre mon chemin tranquillement vers Lausanne tout en surveillant les éventuelles opportunités d’hébergement. Je suis maintenant un itinéraire balisé VTT qui va jusqu’à Vevey, au bord du lac Léman. De là, je n’aurais plus qu’à longer le lac, cap à l’ouest, pour arriver à Lausanne où je dois reprendre un train le lendemain.
A 16h, je n’ai toujours aucune idée de l’endroit où je vais passer la nuit. La perspective de bivouaquer toute seule au milieu de la forêt, sans tente, ni matelas, ne m’enchante absolument pas. J’imagine déjà ma nuit sans sommeil, tous les sens en alerte, attentive au moindre craquement de feuille. Au bout de quelques kilomètres à l’ombre bienfaisante d’une forêt, je débouche dans une superbe vallée cernée de montagnes. Je poursuis ma route, émerveillée par le paysage, quand j’aperçois un chalet d’alpage et un homme courbé travaillant dans les champs. Je dépasse le chalet, hésite un court instant et fait demi-tour pour monter au chalet.
L’homme, affairé à arracher des mauvaises herbes, ne me voit pas. Je me tourne vers le chalet et j’aperçois une femme penchée sur une grille de mots croisés. Elle non plus ne me remarque pas. Je me décide à la héler et lui explique ma situation. Un peu décontenancée, elle fait signe à son mari de la rejoindre. Je répète mon histoire et l’homme accepte immédiatement, ne voyant aucune objection à ce que je passe la nuit chez eux. Sa femme, qui semble finalement ravie de cette rencontre imprévue, apporte boissons fraîches et petits biscuits.
Isabelle et Gérard ont acheté ce chalet quelques années auparavant. Depuis, ils viennent y passer tous les étés pour être au frais, au milieu des montagnes. Le travail ne manque pas : il faut s’occuper des génisses, des poules, des lapins, sans parler de l’entretien du chalet.
La soirée s’écoule tranquillement : on discute de tout, naturellement, comme si nous nous connaissions depuis longtemps. Mes hôtes me font visiter le chalet et me montre ma chambre pour la nuit. En gentlemen farmer, Gérard me propose d’aller parlementer avec les araignées lorsqu’il voit ma mine déconfite faisant le compte des toiles disposées un peu partout dans la chambre. La lune se lève sur le Cape au Moine et la brise descendante apporte une fraîcheur inattendue après une journée si chaude. Il est temps d’aller dormir. Gérard, en bon négociateur, a fait un travail de médiation remarquable auprès des araignées car je n’aperçois pas un seul spécimen d’arachnide.
Une nouvelle journée en Gruyère
Au petit matin, vers 5h, je suis réveillée par le jour qui s’infiltre par la fenêtre ouverte et par les sonnailles des génisses qui paissent à quelques dizaines de mètres seulement. Je parviens tout de même à me rendormir jusqu’à 8h. Isabelle et Gérard sont debout et s’activent déjà depuis un moment. Après un rapide petit-déjeuner, je prends congé de mes bienfaiteurs. Je leur promet de repasser les voir. La magie du voyage en solitaire a bel et bien opéré. J’étais sceptique au début, mais je dois reconnaître que voyager seule permet de rentrer en contact très facilement avec les gens.
Je poursuis ma route vers Vevey. Le paysage est splendide, mais je suis vraiment déçue par le balisage VTT. En effet, c’est une route parfaite pour le cyclotourisme, un beau ruban d’asphalte, tout propre, tout lisse… et c’est justement le problème : je pensais qu’il y aurait au moins quelques belles sections de single, mais rien, pas de sentier !
D’abord bien abritée sous le couvert végétal d’une épaisse forêt, je débouche sur un paysage qui s’ouvre et laisse entrevoir le lac Léman et les montagnes de la Haute-Savoie. Il n’y a plus qu’à se laisser descendre à toute vitesse jusqu’au bord du lac.
L’arrivée à Vevey
Arrivée à Vevey, je fais une petite halte pour manger quelques biscuits et contempler le paysage. Je me remémore de précédents voyages à vélo lors desquels j’avais fait le tour du lac Léman. Je repars avec la ferme intention de trouver une jolie plage dont on m’a parlé la veille au chalet du Gros Plané. Apparemment, c’est un petit bijou, un endroit seulement connu des habitants du coin. Je me perds une ou deux fois et j’y arrive enfin. Effectivement, il faut connaître, sous peine de passer à côté.
Il faut descendre une petite allée, puis un escalier en pierre qui mène à la petite plage secrète. L’endroit est charmant : c’est l’occasion de faire une courte sieste et aussi de me rafraîchir un peu. Je resterai bien davantage, mais il me faut repartir car le train, à Genève, ne m’attendra pas. La fin du parcours, entre Vevey et Lausanne, n’est pas la partie la plus intéressante, à moins d’accepter de monter sur la route touristique des vignobles. Connaissant déjà bien cette route pour l’avoir empruntée de nombreuses fois, je choisis l’option la plus rapide. En moins d’une heure, je suis à la gare de Lausanne où je reprends le train pour rentrer à Grenoble.
Conclusion sur nos 3 jours rando et VTT en Gruyère
La Gruyère reste ma destination de cœur en Suisse. Je ne m’en lasse pas et je découvre chaque fois de nouveaux sentiers, de nouveaux itinéraires. Le côté zen et hors du temps de cette région me plaît énormément, même si, il faut l’avouer, cela tend à être mis à mal par une urbanisation croissante et mal maîtrisée à mon goût.
Voyager seule m’a permis de faire de belles rencontres et j’espère bien revoir mes hôtes au cours d’un prochain voyage. Mon unique regret est de ne pas avoir roulé davantage sur sentier. Aussi, la prochaine fois, j’essayerai de mieux préparer mon itinéraire à partir de cartes topographiques plutôt que de suivre en toute confiance le balisage VTT en place.
Matériels utilisés pour ce séjour rando et VTT en Gruyère
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CATEGORIE | MODELE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT CE CHOIX AU DEPART | CE CHOIX A-T-IL REPONDU AUX BESOINS DE LA SORTIE | SI C’ÉTAIT A REFAIRE |
CHAUSSURES | Kempi | LAFUMA | Légères, polyvalentes | Sandales de randonnée aérées, mais qui protègent bien le pied en cas de chute. | Je reprendrai les mêmes chaussures pour un voyage du même type, à savoir un voyage court par beau temps |
SAC À DOS | Escapist 25 | OSPREY | Polyvalent, léger, confortable | J’avais peur d’avoir mal au dos en portant un sac toute la journée en vélo et je n’ai ressenti aucune gêne. Le portage de ce sac est excellent, il est parfaitement accessoirisé et la contenance est idéale. | Ce sac est vraiment parfait et se laisse oublier tant le système dorsal est bien conçu |
MONTRE | Forerunner 220 | GARMIN | Pour les fonctions de vitesse, distance, et conserver la trace de mon parcours | L’autonomie n’est que de 8h, mais grâce à un petit chargeur nomade, j’ai pu enregistrer ma trace au cours des 3 jours | Je reprendrai la même pour des voyages courts. En revanche, au-delà de 4 jours, je la laisserai à la maison car ce n’est pas indispensable |
VTT | Trance X3 | GIANT | VTT tout suspendu acheté d’occasion la veille de mon voyage ! VTT all-mountain | VTT qui a du potentiel, mais que je n’ai pas vraiment pu tester à sa juste valeur. J’ai davantage roulé sur route que sur sentier au cours de cette virée helvète | Sur l’itinéraire emprunté, un VTC aurait été plus adapté |
SACOCHE DE CADRE | 520 2L B’TWIN | DÉCATHLON | Praticité de la sacoche car tout est à portée de main | Rien à redire ! Parfait pour ce trip VTT en Gruyère. La sacoche ne bouge pas, même avec les vibrations en VTT. Le volume, de 2L, est suffisamment important pour ranger des barres, clés, petit matériel de réparation… Il y a même un support intégré pour smartphone | Je reprendrai cette sacoche sans hésiter |
SHORT | Path | CRAFT | Léger, joli, multi-usage | Short agréable à porter, aussi bien pour faire du VTT, du cyclotourisme que de la rando (il suffit d’enlever la peau de chamois amovible) | Je reprendrai le même |
T-SHIRT | Tech lite 150 W | ICEBREAKER | Agréable à porter, respirant, ne sent pas mauvais | Ce T-shirt convient parfaitement. Le gros avantage est l’absence d’odeur, contrairement aux T-shirt en matières synthétiques qui sentent tout de suite mauvais. | J’en rachèterai un autre pour renouveler le mien qui a déjà bien vécu |
MICROPOLAIRE | W Caliber Hoody | ARCTÉRYX | Légère, chaude, jolie coupe | C’est un modèle « increvable » qui m’accompagne dans toutes mes sorties montagne | Je reprendrai la même |
CASQUE | Meteor III | PETZL | Léger, polyvalent (alpinisme, vélo) | Très léger, ce casque se fait vite oublier. | Toutefois, à choisir, je prendrai peut-être un casque typé VTT avec visière la prochaine fois |
LUNETTES | Rookie | JULBO | Look, verre polarisant | Modèle junior, mais qui convient parfaitement pour les visages fins. Elles sont bien couvrantes. Le seul défaut est la buée qui apparaît parfois assez vite | Je reprendrai les mêmes |
COUPE-VENT | Cirrus Wind Top | RAB | Ultra-léger, compressible | Coupe-vent ultraléger qui tient dans la main une fois repliée dans sa petite housse : vraiment très pratique pour se protéger du vent | Comme elle n’est pas imperméable, cette veste est parfaite pour une météo venteuse. En revanche, si la pluie s’invite, il faut absolument avoir une veste imperméable. Idéalement, j’aimerais bien trouver une veste vraiment imperméable tout en restant légère et compressible (mais je ne sais pas si ça existe) |
DRAP DE SOIE | – | DÉCATHLON | Prix | Léger, compressible, c’est la solution idéale quand on n’a pas besoin de sac de couchage | Je reprendrai le même |
COUTEAU | n°8 | OPINEL | C’est LE couteau de rando par excellence | En voyage, je ne me pose même plus la question, c’est ce couteau qui m’accompagne | Il existe probablement d’autres couteaux très biens, et même plus légers, mais j’aime trop mon Opinel en bois de noyer pour lui faire des infidélités |
FRONTALE | Tikka plus | PETZL | Prix, encombrement | Petite frontale qui convient très bien pour une utilisation rando et VTT en Gruyère | Je reprendrai la même, sauf si je devais rouler de nuit. Dans ce cas, je prendrai une lampe plus puissante |
LISEUSE | Kobo aura | FNAC | C’est un cadeau qu’on m’a fait ! | Tellement petit que ce serait dommage de s’en passer ! | Clairement pas le plus indispensable quand on part en voyage, mais c’est quand même bien agréable de pouvoir lire un peu le soir |