Florian et Gwendoline nous raconte leur initiation alpinisme sur l’arête sud-est de la grande Ruine (3 765m).
Information initiation alpinisme
- Date
27 et 28 juin 2012
- Lieu
France, Hautes Alpes, Pied du Col Villar d’Arêne (canton de La Grave)
- Depuis Montpellier
4h26 via Grenoble : 24,80 euros de péage
5h22 via Briançon : 21,80 euros de péage
5h55 via Die dans la Drôme, superbe vue sur le Vercors…. : 17 euros de péage
- Participants
Florian Desjouis, Gwendoline Attia : heureux gagnants du 1er lot du concours Yeti 2011 !
Guide de haute montagne : Julien Laurence
- Où dormir :
Nous avons profité d’un petit bivouac en kangoo non loin du village de Le Casset (proche de Monetier les Bains) dans la vallée qui mont au Col du Lautaret, route du Pont de l’Alpe. 25min du parking du départ de la randonnée.
Gite dans les environs : Gite les Mélèzes à Villar d’Arêne, Gite Glacier bleu à Mont-Dauphin, Gite Moulin Papillon à l’Argentière-La-Bessée.
Campings : Iscle de prelles et 5 vallées.
Où se restaurer/où se réapprovisionner :
Briançon est une petite ville de 12 000 habitants. On y trouve donc tout ce dont on peut avoir besoin : supermarchés, station-service, boulangeries, magasins de grimpe, bar, restaurant, etc.
Quelques boutiques sur la route du pont de l’Alpe qui monte au Lautaret (surtout jusqu’à Monetier les Bains)
- Office du tourisme
Briançon
Toutes les infos concernant les événements dans le secteur : cliquez ici puis ici.
- Caractéristiques (falaise, massif…)
Massif des Ecrins : un potentiel énorme, pour tout niveau, dans un cadre splendide.
Grande Ruine : Sommet qui offre une belle vue sur le Dôme des Ecrins pendant la majorité de la course ainsi qu’une vue panoramique du Mont-Blanc au Mont Viso depuis le sommet !
- Ascensions possibles
Voie normale : randonnée avec marche glacière.
Arête Sud (Pointe Brevoort) : AD+
Arête Sud-Est (Pointe Brevoort) nommée « La Nuit des refuges » : AD
Quoi d’autre dans les environs
En alpinisme : les Agneaux, Dôme des Ecrins, Rocher Méanne -Tour Carrée…
Grandes voies : pas mal de choses dans les Ecrins et le potentiel de La Grave
Couenne : Chemin du Roy (avant le Col du Lautaret) par exemple
Bibliographie :
Cette fois-ci, nous étions guidés, aucun topo en main ! Seule la carte IGN 3436 ET Meije – Pelvoux – Parc national des Ecrins.
- Lien Internet
Jeu concours Yeti avec le récit de notre voyage au Pérou en 2011
Post de Julien Laurence sur cette course
Site du Refuge Adèle Planchard
Initiation alpinisime avec l’Arête SE de la Grande Ruine dans les Hautes-Alpes
L’histoire commence fin juin 2011 dans un cybercafé de Huaraz au Pérou. Où nous décidons de jouer au premier concours proposé par Le Yeti dès réception du mail de lancement ! Le sujet est tout choisi : le voyage dont nous dégustions les derniers jours avec bonheur.
Quelques mois plus tard : victoire ! Nous gagnons le premier lot du concours : ascension du Mont-Blanc avec un guide de montagne. Nous sommes très heureux d’être les vainqueurs du concours ! Cependant après réflexions et discussions avec un ami guide sur l’ascension du Mont-Blanc, surtout sur la foule quotidienne qu’attire la renommée de celui-ci, nous analysons que le contexte de ce sommet ne regroupe pas tout à fait ce que nous recherchons en montagne, à savoir : découverte sauvage, atmosphère paisible, mixité des pratiques…
N’ayant rien à perdre, nous envoyons de ce pas une proposition de changement d’ascension à Julien. En précisant que s’il n’est pas possible de modifier le lot du concours, ce sera tout de même une belle occasion pour nous de réaliser l’ascension du plus haut sommet d’Europe…
Banco ! Celui-ci semble ravi de notre initiative. Heureux, le guide qui fera une fois de moins le Mont-Blanc cet été, et de une ! Il nous propose l’arête Sud de la Grande Ruine, peu courue course qui offre une ascension variée alliant randonnée glacière, grimpe, mixte, le tout encadré d’une approche bucolique qui longe un ruisseau à l’eau cristalline. L’excitation de réaliser ma première « vraie » ascension alpi bat son plein. Le programme proposé par Julien nous emballe, rendez-vous cinq mois plus tard pour affiner l’organisation. Cela me laisse le temps de pédaler tout le printemps 100km par semaine pour améliorer ma condition physique et à Florian de se mettre en bouche grâce aux we de l’ERJA.
Notre guide
Après quelques jours d’alternance entre couennes et repos aux alentours de Briançon, nous rencontrons Julien le mercredi matin directement sur le parking du Pied du Col de Villar d’Arêne, 1667m, avec la chance d’avoir une météo assez positive. Objectif : être à l’heure pour le dîner servi à 18h30 au refuge d’Adèle Planchard (3169m).
Les premières heures de marche sont l’occasion de nous replonger dans notre périple péruvien pour assouvir la curiosité du guide qui propose le 1er lot du concours. Après une mise en jambe efficace (300 d+), un long plat offre un moment bucolique qui laisse place à une petite faim. Au bord d’une plage de sable version miniature, nous partageons un pique-nique fraîcheur : je compte sur nous pour finir tomates, concombre et abricots frais pour m’éviter de les porter jusqu’au refuge, il reste 1100 d+ ; sinon Florian aurait eu raison de ne pas souhaiter les apporter !
En forme
L’entrainement cycliste a porté ses fruits (merci à Isabel de m’avoir fait prendre goût aux kms pédalés sur Lyon grâce à son bon vélo). Je me sens en forme et c’est bien plaisant ! Les gars m’attendent tout de même régulièrement pour ne pas trop me distancer. Je déciderai d’ailleurs, à la fin de cette journée, de m’offrir un nouveau vélo afin de poursuivre cet entrainement qui me donne l’espoir. Et l’espoir de progresser en ski de randonnée par la même occasion !
Nous ne croisons que deux personnes qui descendent, et un vieux monsieur seul, souriant et courageux qui monte sous la chaleur d’un pas qu’on ne pourra qu’envier à son âge !
Le dernier névé est raide, affamée, l’envie d’arrivée au refuge ne fait que grandir !
Au refuge
« Diner à 18h30, c’est sacrément tôt » pensions-nous ce matin. Finalement, arrivés à 17h au refuge après un névé bien raide, nos estomacs se prennent à rêver d’un service à 17h30 !!!
Julien ayant travaillé une saison dans ce refuge quelques années plus tôt connaît très bien la gardienne Sylvie qui nous accueille amicalement. Sa fille Méanne nous fait découvrir des chansons enfantines qui feront échos dans nos têtes jusqu’au sommet de la Grande Ruine « Un petit pouce qui danse, deux petits pouces qui dansent, trois petits pouces qui dansent on est heureux pour la journée ! ». Sympa un court instant, mais chacun tentera de diminuer discrètement le volume de son magnétophone pendant tout le repas !
Arête Sud Est
La gardienne, Sylvie, annonce une météo mitigée pour demain, pas de regel prévu cette nuit (comme la précédente où un guide est tombé dans la rimaye) et risques d’averses en fin de matinée. Julien propose l’arête Sud Est au lieu de l’arête Sud de la Pointe Brevoort, niveau grimpe c’est presque équivalent, mais cela fait gagner une heure d’approche glacière et ainsi garantir un retour au refuge avant les orages. Personnellement, je ne peux qu’être heureuse qu’il y ait une alternative, je l’entendais déjà nous dire qu’il fallait annuler le sommet. Finalement, nous aurons du grand beau temps toute l’ascension et même jusqu’en milieu d’après-midi, permettant même de se rafraîchir un coup dans le ruisseau sur le retour.
Cinq personnes dans la chambre des randonneurs, deux guides dans la chambre voisine, aucun ronfleur, une chance !
Réveillés à 4h, après une bonne nuit de 7h de sommeil, on ne se plaint pas ! Petit déj avalé, crampons chaussés, tous encordés, nous voilà partis pour le Col des Neiges, Julien devant, Florian derrière. Il suffit d’enchaîner les pas avec régularité tout en admirant le lever de soleil qui éclaire le Dôme des Ecrins. J’aime ces heures de marche nocturnes qui semblent ne pas compter, la fatigue n’est pas concernée, la vision et le ressenti sont bien différentes des heures de marche en plein jour.
Col des Neiges
Nous arrivons rapidement au col des Neiges, quelques mètres plus loin, nous rejoignons le pied de la voie. Hop crampons dans le sac, excitation et joie de l’inconnue sont bien vives. Après un passage de neige délicat sur seulement deux mètres de long assis « comme à cheval », l’entrée en matière est directe car la première longueur comprend la seule « difficulté » de l’ascension : un unique pas de 4b/4c. Il s’agit d’un petit dièdre avec une prise qui bouge au milieu, mais ça passe bien.
Première sensation de grimpe « en grosses » de rando qui remplace les chaussons : ça tient mieux que ce que je n’imaginais sur les gratons ! Quel bonheur d’avoir des conditions parfaites : température idéale, les bouts de doigts ne sont pas anesthésiés par le froid comme lors de ma première et dernière tentative de grimpe suite à une approche glacière, j’apprécie d’autant plus le fait de sentir chacune des phalanges de mes mains aujourd’hui.
La grimpe est trop courte, juste le temps de savourer la gestuelle de l’escalade, puis d’avaler une barre céréale. Voilà, à ma grande surprise, Julien qui annonce déjà la fin du rocher qui laisse sa place à une demi-heure de mixte. Quel bonheur ces sensations de grimpe sur rocher en conditions montagnes, enfin en conditions de luxe car le rocher est de très bonne qualité ! Je n’ai pas vu le temps passé.
Accomplissement
Arg le grincement des crampons sur le caillou, ce bruit grinçant et crispant est une première pour moi. J’ai du mal à faire confiance à la tenue des pointes qui semblent souffrir sous mes pieds. Ce court passage de « mixte » demande de redoubler d’attention pour une novice. Julien est très pro, rassurant et sécurisant. Florian ne manque pas d’encouragements non plus. La crispation se fait alors oubliée et cède sa place au plaisir de l’accomplissement, à la concentration juste plaisante sur les pas et la respiration.
Il nous reste plus que 100m d+ sur neige, bien raide : merci les grandes jambes des traceurs… De même que ramener les deux mains sur une prise est ma spécialité en escalade, ramener les deux pieds dans la même marche de neige est parfois nécessaire quand on n’a pas l’allonge standard !
Sommet , il n’est que 8h30 du matin !!! Vue panoramique splendide du Mont-Blanc au Mont Viso d’un côté et sur les Ecrins de l’autre côté. Sensation forte, satisfaction d’une découverte pouvant offrir le choix d’autres ascensions plus variées que les courses par « voies normales ».
Il ne faut pas traîner, le soleil chauffe vite le glacier surmonté d’un névé. Casse-croute rapide, discussion sur les pisse-minettes (à tester la prochaine fois d’ailleurs), car se baisser encordée, ça passe mais il faut avoir de bons élastiques reliant les cuissards à la ceinture du baudrier !
Un petit rappel d’une quinzaine de mètres permet de gagner du temps et simplifier la descente. Florian devant, Julien derrière, on ne traîne pas, les grandes enjambées dans la neige moelleuse s’enchaînent jusqu’au refuge.
Ravitaillement
Nous arrivons juste à temps pour avoir la chance de vivre en direct un ravitaillement de refuge par hélicoptère. Quelle rapidité et fluidité ! L’hélico ne met que quelques secondes pour déposer un gros sac avant de repartir avec la légèreté et la fugacité d’une hirondelle (il doit falloir avec l’estomac bien accroché là-dedans !).
Un coup de main pour vider les sacs déposés nous permet d’agrémenter l’idée qu’on se fait de la vie en refuge. Un petit moment agréablement partagé que l’on prolonge par un petit pique-nique. On est bien, la vue depuis ce refuge est bien dégagée, on se sent perchés en hauteur, mais il faut entamer la redescente.
Le petit sac de grande voie reprend sa place dans le sac de rando, ça fait prendre conscience du plaisir de marcher et grimper léger !
Quelques nuages apparaissent, mais les orages nous épargnent. Alors baignade ou fin de rando avec Julien qui n’a pas le temps de traîner ? Ce sera baignade vivifiante !
Après quoi il est difficile de rechausser les grosses et la fin du plateau se fait un peu longue. Mais c’est avec joie que nous achevons cette belle ascension, avant le venue des orages.
Merci au Yeti et merci à Julien.
Alors cette course, on en fait un récit à remettre en jeu 😉 ?
Conclusion initiation alpinisme
La Grande Ruine n’a certainement rien à envier au Mont Blanc. Tout comme bien d’autres sommets d’ailleurs ! Cette ascension et rencontre avec Julien était une nouvelle occasion de se questionner. Se questionner sur ce que nous apprécions en montagne et plus généralement sur ce qu’autrui y recherchent. Le Massif des Ecrins regorge de projets futurs très variés que Julien n’a pas hésité de lister au fil des journées. On apprécie déjà beaucoup les Alpes du Sud. Plus on les découvre et plus elles nous dévoilent leur potentiel accompagné d’une météo plus souvent clémente que pour leurs voisines du Nord ! Julien devait enchaîner par une ascension du Mont Blanc deux jours plus tard. Mais les conditions n’étaient pas au rdv. Les clients ont-ils accepté de réaliser une autre croix que celle qu’ils souhaitaient cocher ???
Matériel initiation alpinisme
Matériel d’alpinisme femme
CATEGORIE | MODELE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT CE CHOIX AU DEPART | CE CHOIX A-T-IL REPONDU AUX BESOINS DE LA SORTIE | SI C’ÉTAIT A REFAIRE |
BAUDRIER GWENDOLINE | WOMEN ACHETÉ AU YETI EN 2009, ÉQUIVALENT DU « LOTUS » | BLACK DIAMOND | Confort, Bon marché, Boucle de la ceinture à blocage automatique – poche intérieur zippée pour les clés par exemple. – élastiques extérieurs pour pouvoir caler une polaire ou autre par manque | Oui, même si j’aurais préféré que les jambières ne soient pas réglables car la boucle de réglage peut être gênante quand on est suspendu pendant longtemps ! | Oui, en fonction de l’offre du marché et des évolutions apparues en quelques années ! |
CHAUSSURES D’ALPINISME GWENDOLINE | K11 + TAILLE 23 | KAYLAND | Pas le choix de taille ! Achetées pour la Cordillère des Andes (thermiques), Très bien pour ce type de courses aussi. – Confortable, jamais eu la moindre ampoule. – Bonne tenue sur les prises. | RAS | Les mêmes, ou voir selon les modèles existants à ma taille. |
CASQUE ESCALADE GWENDOLINE | ELIOS, ACHETÉ AU YÉTI EN 2007 | PETZL | – Le poids ? mais j’ai pas de comparaison – Son prix – La fonction réglable pour ajouter sans soucis un bonnet dessous par exemple. | – tombe systématiquement d’un coté ou de l’autre de la tête, du mal à rester caler. Pas très confort, mais je n’ai pas de comparaison non plus. | J’achèterais un modèle qui englobe mieux et tient toute la journée droit sur la tête ! En attendant, je patiente en usant un peu plus celui-ci. |
Matériel d’alpinisme homme
CATEGORIE | MODELE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT CE CHOIX AU DEPART | CE CHOIX A-T-IL REPONDU AUX BESOINS DE LA SORTIE | SI C’ÉTAIT A REFAIRE |
NOUVEAU SAC LÉGER DE JULIEN | SUMMIT ROCKET 30L | MOUNTAIN HARDWEAR | Il le testait pour la première fois, semblait très satisfait du rapport confort. – poids – praticité pour l’alpinisme | Défaut que j’y verrai personnellement : pas de vraie ceinture ventrale (certes pas pratique quand s’ajoute le baudrier, mais indispensable pour l’approche à mon sens). | Florian s’y est lancé aussi en le commandant au Yeti, à voir ses futurs retours à ce sujet. |
CASQUE ESCALADE FLORIAN | METEOR III | PETZL | – Poids : on l’oublie complétement – Stabilité : il a l’énorme avantage de ne pas se ballader tout autour du crâne => le soutien derrière la nuque est très efficace – Confort | Je prends le même sans aucun doute : je ne demande rien de plus à un casque, et il me fait oublier l’Elios de chez petzl qui était vraiment très moyen pour la grimpe (cf compte rendu maroc taghia) | |
BAUDRIER FLORIAN | SAMA | PETZL | Confort Bon marché | Oui | Baudrier qui répond à mes attentes : plutôt léger, confortable quelle que soit l’utilisation et malgré les jambières non réglables. Commence à être bien abîmé au bout de 3 ans, déchirure de tissu sur les jambières, ponté qui s’effiloche… |
Vêtements d’alpinisme femme
CATEGORIE | MODELE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT CE CHOIX AU DEPART | CE CHOIX A-T-IL REPONDU AUX BESOINS DE LA SORTIE | SI C’ÉTAIT A REFAIRE |
VESTE GWENDOLINE | GORE TEX PRO SHELL | MILLET | Cf récit Taghia Maroc | ||
SOUS PULL MÉRINOS | WOMENS 260 MIDWEIGHT TECH TOP 260 G/M² MIDWEIGHT | ICEBREAKER | Très bon apport de chaleur Léger, confortable, on l’oublie complètement, Grand zip bien appréciable quand on se réchauffe. 1 détail : l’encoche pour placer le pouce dans la manche => mine de rien, quand il fait frais, ça couvre un peu plus de surface et ferme franchement les écoutilles : efficace | Le même ! Bon son prix est très élevé. Peut-être que je tenterai un mérinos Ardelaine frabriqué en Ardèche pour un tiers moins cher, mais moins spécifique aux activités sportives. | |
TEE-SHIRT MERINOS | WOMENS SS TECH SCOOP SCATTER 150 G/M² ULTRALIGHT | ICEBREAKER | la matière idéale : Sèche vite, ne sent pas, ne gratte pas, confortable | Le même. Attention même en XS ça taille un peu trop grand. | |
DOUDOUNE GWENDOLINE | SIGMA TAILLE 8 | MOUNTAIN EQUIPMENT | Cf récit Taghia Maroc | ||
PANTALON ALPINISME GWENDOLINE | GUIDE PANTS | PATAGONIA | – confortable (élasthanne) – léger – sèche très vite – base du pied avec ouverture éclaire pour pouvoir être utilisé sur des chaussures de ski rando pour des sorties printanières. une des rares marques à vraiment penser aux petites tailles (XS) | Il manque peut-être une protection supplémentaire en bas des jambes en cas de coups de crampons | Le même |
SHORT RANDONNÉE | NOMADER | PATAGONIA | Taille (toujours même pb avec les autres marques dont les XS sont trop grands voir avec d’autres modèles de Patagonia). Confort, Légereté,Sèche en un instant, Poches pratiques | Le même, je le mets rando mais aussi un peu tous les jours en été ! |
Accessoires alpinisme
CATEGORIE | MODELE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT CE CHOIX AU DEPART | CE CHOIX A-T-IL REPONDU AUX BESOINS DE LA SORTIE | SI C’ÉTAIT A REFAIRE |
CULOTTE | W’S ACTIVE HIPSTER | PATAGONIA | Le top pour le sport comme pour la vie quotidienne | On y goutte et on ne s’en passe plus… malgré un prix bien élevé. | |
BRASSIÈRE | W’S ACTIVE MESH BRA | PATAGONIA | Très bon maintient Qualité / durabilité | Je l’ai depuis 5 ans, elle ne semble pas avoir bougé. | |
SAC À DOS DE RANDONNÉE GWENDOLINE | 40L+10 | VAUDE | Cf Récit Taghia au Maroc | ||
MONTRE ALTIMÈTRE | T6D | SUUNTO | Cf récit Taghia Maroc | ||
NOUVELLE PAIRE DE LUNETTES DE SOLEIL GWENDOLINE | ZEBRA | JULBO | Tienne même avec une petite tête, sans pour autant être un modèle enfant ! Varient de l’indice 2 à 4 en fonction de la luminosité. Top pour les garder même lors de passage sombre en forêt, ou d’un nuage. Egalement très pratique à vélo, m’évite d’acheter des lunettes transparentes. | Les mêmes, et Florian semble susceptible de se laisser tenter aussi ! |