Christophe Munck nous raconte sa sortie grimpe au Wendenstock dans les Alpes Uranaises et nous partage ses avis et conseils sur le matos d’escalade utilisé.
Informations pour préparer une session escalade au Wendenstock
Date de la sortie escalade au Wendenstock
Le 10 septembre 2016.
Lieu
Suisse- Canton d’Uri- Innertkirchen- Gadmen- Wendenalp
Depuis Montpellier : avec péage : 8 heures, 760 km
sans péage : 13 heures, 660 km
Participants à la sortie grimpe à Wendenstock
Vincent, Chris
Où dormir et se restaurer à Wendenstock
Camping : camping-gadmen.ch
Bivouac : toléré à Wendenalp
Hôtel : Alpenrose à gadmen
Réapprovisionnement : à Meiringen : plusieurs magasins d’alimentation, restaurants, magasin de sport.
Bibliographie sur Wendenstock
Topo Schweiz extrem west aux éditions Filidor, 39 francs suisses
Parois de légende d’Arnaud Petit et Stéphanie Bodet, éditions Glénat, 25 euros
Topo internet :
Camp to camp : Pfaffenhuet : Sternschnuppe
Caractéristiques du lieu Wendenstock
Le Wendenstock, Wenden pour les initiés, est situé dans la fantastique et impressionnante muraille qui s’étale sur dix kilomètres de large du Tällistock au Titlis.
L’ambiance est dolomitesque. A juste titre, Wenden est un spot majeur des Alpes et compte d’ailleurs deux voies : Caminando et Sternschnuppe dans le livre «Parois de légende » d’Arnaud Petit et Stéphanie Bodet.
Wenden comprend plusieurs secteurs : Le Pfaffenhut, le pilier d’Excalibur, le Dom, Aureus et à l’extrémité nord le Reissend Nollen.
Une centaine de voies comprises entre 250 mètres et 500 mètres (et même jusqu’à presque 1000 mètres au Reissend Nollen), y sont équipées.
Attention : toutes ces voies se méritent !
L’accès a Wendenstock
Il faudra vous affranchir d’une bonne marche d’approche de 800 mètres de dénivelé à travers pierriers, barres rocheuses et pentes herbeuses très raides pour y accéder.
Ensuite, le ticket d’entrée est à 6b obligatoire. Et grimpe très vite au-delà pour la très grande majorité des voies. Attendez-vous donc à devoir réaliser des pas de 6b trois à quatre mètres au-dessus du dernier spit.
Plus c’est facile, plus l’équipement est espacé. C’est donc une fausse bonne idée que d’envisager une voie comme Excalibur pour une entrée en matière. Car si celle-ci est peut-être la plus facile en terme de cotation, elle est aussi terriblement expo !
Vous l’aurez donc compris, ici, les voies ne sont pas bradées.
Extrait de Claude Remi :
Mais mieux qu’un long discours, l’article de Claude Remi, célèbre équipeur suisse, paru dans Grimper magazine en dit long sur l’ambiance qui vous attend là-bas :
« L’empire du Wenden, Grimpeur de couenne, soucieux de la proximité du prochain spit, cet article est pour vous! Le wenden vous permettra de vous élever dans un monde nouveau, celui de l’épouvante! Pour les blasés, n’hésitez pas à faire plaisir à vos proches, emmenez-y par exemple, votre futur ex-copine, car au coeur de la Suisse, les murailles du Wendenstock veillent…
Imaginez… Le verdon, en plus grand et culminant à 3000 mètres d’altitude. Le wenden, nom donné à l’ensemble de la chaine, c’est près de 10 kilomètres de paroi sud, s’élevant parfois d’un jet, comme une proue de navire haute de 500 mètres, des facettes succéssives offrant jusqu’à 1000 mètres de dénivelé. Un rocher béton, des voies absolument démentielles de plus de 20 longueurs, équipées le plus souvent très sportivement ( pléonasme…) pour des grimpeurs particulièrement affutés au niveau technique et en continuité mais complètement dépourvus de neurones émotionnelles. »
Le récit de la sortie d’escalade au Wendenstock
Sternschnuppe : la revanche !
Quand Vincent me contacte pour une grande voie, je pense immédiatement à l’emblématique Wendenstock.
En effet, mes projets en haute montagne de l’été ont avorté : j’ai envie plus que jamais de relever un défi. C’en devient d’ailleurs même un besoin…une nécessité… Il me faut dépenser mon trop plein d’énergie et il me faut ancrer des souvenirs qui me feront patienter l’hiver avant qu’un nouvel été, riche en expérience alpine, se dessine enfin !
Et quelle meilleure voie que STERNSCHNUPPE pour assouvir ma soif d’aventure !
Cette voie revêt un caractère tout particulier pour moi. Eh oui, nous nous connaissons déjà…
Ma première tentative me fait remonter le temps à l’année 1992, où du haut de mes 18 ans j’allais affronter l’effroi.
Je me fis d’ailleurs la promesse de ne jamais y retourner.
La promesse tint deux décennies…
Petit historique
Ce jour-là, parvenu au troisième relais, je me lançais dans la quatrième longueur. Beaucoup d’hésitations, enfin plus exactement la peur de tomber, m’empêcha d’atteindre le premier spit situé environ quatre mètres au-dessus du relais. Je restais là, des dizaines de minutes durant, incapable d’effectuer les quelques malheureux quatre-vingts centimètres restants.
Après de longs moments à rester pendu par les bras, mon esprit finit par convaincre mes muscles, ou peut-être d’ailleurs que c’était l’inverse. Une chose est sûre, l’un et l’autre me permirent de me lancer.
Je franchis donc cet ultime pas, accéda au spit, et posa ma dégaine. Au moment de passer la corde dans le mousqueton, je décidais de tenir fermement la dégaine (la préhension étant bien supérieure à celle que m’offrait ma prise sur le rocher).
Le plan était parfait… presque parfait…
Cela fait maintenant 24 ans mais je m’en rappelle comme si c’était hier !
Il ne manqua que l’adverbe «fermement»…
Les muscles de mes bras étaient tellement tétanisés que lorsque je voulus serrer cette dégaine, rien ne se passa: mes doigts ne bougèrent pas. Je vis filer la sangle puis le mousqueton dans ma main droite. Et plus je les sentais filer dans ma main, plus mon corps tout entier partait à la renverse. Et puis ce fut le VOL !
Un vol avec un grand V. Une dizaine de mètres (2×4 mètres + l’élasticité + le mou dans les mains de l’assureur). Une dizaine de mètres la tête la première ! Effroyable !
Et pour couronner le tout : une chute sur le relais donc une chute facteur deux (le maximum en escalade au niveau de l’absorption du choc par le corps du grimpeur, la corde et le relais).
Un peu sonné après la chute, je constatais que je ne pouvais plus poser l’annulaire gauche sur le rocher.
Le constat était sans appel: le doigt était cassé. Le jeu s’arrêtait là.
L‘ approche au Wendenstock
En avant donc. Départ le vendredi soir, bivouac sous les étoiles. C’est de bonne augure : les germanophones auront déjà fait la traduction : Sternschnuppe = étoile filante.
Réveil : 5h
Attaque de la marche d’approche : 5h40
Conseil : A Wenden, il est essentiel d’attaquer le plus tôt possible car les voies sont longues et les orages fréquents l’après-midi en été.
Cette marche d’approche est aussi l’occasion de me remémorer de très bons souvenirs de ma première tentative :
Nous dormions sous tente. Et un petit chat m’avait réveillé en me léchant le bras. Je crus d’abord que c’était mon compagnon de cordée (mon oncle en l’occurrence). Puis il nous avait suivi tout le long : traversant le petit ruisseau, remontant la petite sente, franchissant les barres rocheuses, les pierriers et enfin les raides pentes herbeuses menant à la paroi.
Nous le perdions de vue à plusieurs reprises pensant et espérant qu’il soit redescendu. Mais non, il réapparaissait toujours et parvenait au pied du rocher. L’escalade nous obligea à «l’abandonner»: nous n’avions pas prévu de baudrier pour lui ! Et il sortit de notre esprit, tant la concentration exigée est grande en escalade.
Quel moment magique quand, de retour, encore sous le choc des émotions, je l’ai retrouvé caché dans mon sac à dos laissé au pied de la paroi !
Que d’inquiétudes aussi pour redescendre à Wendenalp quand il s’approchait trop près des barres rocheuses menant à d’immenses précipices, ou qu’il semblait se perdre et que nous remontions et l’appelions pour le ramener à bon port sans encombre. Mon oncle finit d’ailleurs par le transporter dans son sac.
Mais avait-il seulement besoin de nous ? N’était- ce pas son terrain de jeu à lui avant le nôtre ?
Une rencontre comme celle-là, pour qui aime les chats, ne peut que rester gravée dans la mémoire.
Aujourd’hui, pas de petit félin, mais un magnifique chamois contemplant le lever du soleil.
La voie : Sternschnuppe ED-, 420m, 6c+ max, 6c obl a Wendenstock
9 longueurs : 6a+, 6b+, 5c+,6c+, 6b+, 6a+, 6b+, 6c+, 6c
L’attaque de la voie se situe juste au-dessus d’une petite cavité où l’on peut mettre à l’abri (des orages, des chutes de pierre) les affaires que l’on laisse au pied. Elle est située juste à droite de Patent Ochsner: cette dernière est facilement identifiable grâce à son couvercle de poubelle en métal fixé dans les premiers mètres.
Vincent me propose d’effectuer les longueurs paires en tête, me laissant les longueurs impaires. En effet lors de sa première ascension il avait alors effectué les longueurs paires.
Parfait ! Cela m’évite d’effectuer en tête la longueur où j’étais tombé.
Cela dit, je sais aussi d’expérience que ce n’est jamais bon de commencer la première. Les muscles sont froids, les sensations mauvaises, de plus tout type de rocher demande un certain temps d’adaptation. Et au-delà de ces raisons j’en finis aussi par me demander si ce n’est pas volonté délibérée des ouvreurs de placer la barre haut à la première longueur, en tassant les cotations et en espaçant les spits, pour décourager les cordées trop juste techniquement.
Mais cela me convient parfaitement tout de même.
Il faut gravir les quatre, cinq premiers mètres pour y trouver le nom de la voie.
Longueur 1 : 6a+
Petite longueur délicate dans des cannelures évasées. C’est tout en finesse. Le relais se trouve à droite. Le rocher est encore froid, j’ai le bout des doigts engourdis et par conséquence je ne sens pas les prises. La première longueur me donne déjà du fil à retordre ! Je commence à éprouver des doutes sur le bon fondement de ma place ici. Le temps passe, j’évolue de quelques centimètres, reste à nouveau bloqué de longues minutes. Puis j’arrive à grappiller quelques nouveaux centimètres, et ainsi de suite… Tiens, ça me rappelle une histoire…
Vincent doit certainement commencer à perdre patience et lui aussi éprouver les plus sérieux doutes quant à ma capacité à gravir cette voie…Lui qui connait tellement bien les lieux serait au relais depuis bien longtemps et sans encombre. C’est à quoi je pense, en tout cas, dans ces grands moments de solitude où il faut s’affranchir du risque de chute et se lancer dans des pas aléatoires.
Mais contre toute attente, quand vient son tour, lui aussi éprouve les mêmes difficultés que moi. Me voilà rassuré !
Longueur 2 : 6b+
Un petit pas à droite du relais puis c’est tout droit. Très belle longueur bien homogène.
Technique de pied bien utile.
A l’époque j’y avais aussi pris un petit vol. Peut-être était-ce la raison de mon manque de confiance dans la quatrième longueur et de mon vol d’anthologie qui suivit.
Longueur 3 : 5c+
Petite traversée horizontale à droite. L’unique spit est après le pas. Gare au pendule !
Longueur 4 : 6c+
La longueur clef de la voie. Celle qui m’a valu mon vol de dix mètres…
La difficulté est soutenue tout le long. Monter toujours en ascendance à droite puis revenir à gauche pour le crux.
Celui-ci se situe à la fin de la longueur : il faut bien repérer de bons trous pour y loger ses pieds car dès que l’on s’élève on ne les voit plus et dans les mains c’est tout en finesse. De plus le spit est situé deux bons mètres en-dessous…
Vincent bénéficiera de traits de magnésie laissés par une cordée la veille. Si en couenne (petite falaise d’une seule longueur) ce comportement de laisser des traits, pour repérer les prises, est détestable puisqu’il prive les grimpeurs suivants d’une composante primordiale de la grimpe : la lecture (comprenez la recherche de l’itinéraire), ici, nous les avons bien appréciés !
Je ne pensais pas pouvoir dire cela un jour, mais c’est vraiment une jolie longueur. Exigeante certes, mais jolie. Souvent pour atteindre un spit à droite, il ne faut pas hésiter à faire un crochet à gauche. Et inversement. D’ailleurs ce conseil vaut pour toute la voie.
Par contre rien ne justifie un vol avant le premier spit…..Comme ce fut le cas pour moi…Il n’y a pas de pas difficile à cet endroit. Juste après le spit oui, mais avant non !
Longueur 5 : 6b+
Faire un pas à droite du relais puis revenir en ascendance à gauche.
Soutenue mais superbe. Le crux est juste avant le relais.
Longueur 6 : 6a+
A gauche puis tout droit. Encore une très belle longueur en dalle où il faut se lancer entre les spits.
Longueur 7 : 6b+
Magnifique ! Bien soutenu tout le long. Une petite traversée horizontale à gauche puis en ascendance toujours à gauche jusqu’au relais. Une belle frayeur au-dessus d’un petit passage bombé : je me lance avec un peu trop d’empressement dans le pas en le sous-estimant et me retrouve les mains sans prise avec la sensation d’avoir les pieds qui glissent ! Seul un mélange de grognements d’ours et de cris venant des profondeurs de mes entrailles à la manière du Kiai japonais me sortiront d’affaire.
Longueur 8 : 6c+
Splendide !!! L’escalade se vit sur une dalle et vient mourir sous l’immense dévers qui raye la paroi.
Bien homogène, mais franchement je n’ai pas ressenti de difficulté….Pas beaucoup de spits mais par contre la foire à la lunule !
La lunule c’est la spécialité du Wendenstock : des cordelettes sont insérées dans des trous naturels (ou percés) et offrent une protection. Enfin en théorie, car ces cordelettes sont souvent très vieilles et donc fragilisées par la rigueur des hivers et les UV du soleil.
Longueur 9 : 6c
En plein dans le dévers. Toujours de bonnes prises qu’il faut chercher en allant de gauche à droite. Il faut garder de l’énergie pour cette dernière longueur car l’escalade y est très athlétique.
Au niveau du piton (le seul de la longueur), traverser horizontalement à gauche et parvenir au Wandbuch (livre de paroi). Sternschnuppe s’arrête là. Quatre longueurs supplémentaires en 6a/6b peuvent être gravies, mais sont d’un intérêt bien moindre.
Petite déception : pas de livre à l’intérieur de la petite boite métallique pour y inscrire nos noms.
La descente a Wendenstock
La descente s’effectue en rappel dans la voie Patent Ochsner. Nous nous hâtons, car le Wendennebel, le brouillard de Wenden, un grand classique, nous a déjà submergés. En l’espace d’une trentaine de minutes le ciel s’est complètement recouvert de nuages. Météo suisse annonçait des pluies et des orages en soirée, une météo locale dès 14 heures … Il est 13h30, alors ne trainons pas.
Conclusion sur l’escalade a Wendenstock
Le challenge est relevé.
Une bien bonne journée. Mais comme dirait Vincent « Comme toujours à wenden !»
Je pensais avoir fait le tour des voies faisables pour moi : Excalibur, Aureus et Sonnenkoenig. Ce sont en effet les moins difficiles.
Sternschnuppe m’ouvre maintenant la porte d’autres voies de même difficulté. Et va agrémenter mes rêves pour de nombreuses nuits à venir de cette superbe ascension et de ce rocher démentiel aux cannelures, lunules et gouttes d’eau en tout genre.
Matériels utilisés pour cette sortie grimpe au Wendenstock
[infoChangeOrientation]
CATEGORIE | MODELE | MARQUE | POURQUOI AVOIR FAIT CE CHOIX AU DEPART | CE CHOIX A-T-IL REPONDU AUX BESOINS DE LA SORTIE | SI C’ÉTAIT A REFAIRE |
PANTALON STRETCH | DECATHLON | Le prix, la coupe | Très satisfait, en plus il est résistant même en se frottant contre le granit abrasif | Oui, sans hésiter | |
VESTE SOFTSHELL | Super chockstone | MONTAIN HARD WEAR | Le poids, la respirabilité | Oui ; Mais attention il n’y a pas de membrane comme dans une windstopper : la protection est donc moindre | Oui, sans hésiter. Elle est très compressible et se parfaitement oublier dans le sac d’escalade |
SAC DE COUCHAGE | Chocking Blue | VALANDRÉ | La notoriété de la marque.La fabrication française.(inconvénient : le prix) | Satisfait mais je regrette de l’avoir pris en taille L car le volume d’air à réchauffer est très important (je mesure 1,85m) | Oui mais en taille M. |
CHAUSSONS D’ESCALADE | Muira vs | SPORTIVA | Chausson très précis Excellentes sensations Bonne rigidité de la semelle. | oui | Oui sans hésiter. Mais 400m de paroi c’est un peu la limite : au bout d’un moment ils sont douloureux |
BAUDRIER | Aspect | BLACK DIAMOND | Le confort grâce au matelassage | Très satisfait au niveau du dos. | Je rachèterai. Plus le temps passe, plus mon dos est douloureux, plus j’apprécie le confort du matelassage. |
SAC À DOS | Cliff | SIMOND | Sac de paroi ultra léger : 285g Très compressible pour être rangé dans un sac d’approche. | oui | Oui, sans hésiter. De plus l’innovant système de fermeture est très pratique |
COINCEURS MÉCANIQUES | Camalots tailles 0,5 0.75-1-2 | BLACK DIAMOND | La robustesse, la plage d’utilisation. La notoriété Pour cette course ces 4 friends suffisent | Très satisfait. Inconvénient : le prix plus élevé que la concurrence | La qualité se paie. Je rachèterai. |
1 JEU DE COINCEURS | Wall nuts | DMM | La réputation | oui | Oui sans hésiter |
12 DÉGAINES | Mission set | EDELRID | Très légères (60 grammes) Le confort de prise en main pour des dégaines de ce poids. | Très satisfait. Mais attention elles sont en alu et s’usent donc plus vite. | Oui sans hésiter. Par contre lors de l’achat internet, j’ai commis l’erreur d’ acheter 2 mission lightset. Elles sont à peine plus légères que les missions set et sont beaucoup moins pratiques car le mousqueton pour le spit est trop petit. |
1 DÉGAINE RALLONGÉE | Panic | KONG | Prochain achat à prévoir. Il s’agit d’ une dégaine rallongée et rigide d’ une cinquantaine de centimètres permettant un clippage anticipé | J’ai eu l’ occasion d’ en tester une. Le concept est vraiment génial | |
ASSUREUR | Reverso | PETZL | La polyvalence d’utilisation, l’autobloquant pour assurer un second | Très satisfait. La Fonction autobloquante est vraiment très pratique. | Je rachèterai. |
3 MOUSQUETONS À VERROUILLAGE AUTOMATIQUE | Jumbo | SIMOND | La facilité d’utilisation | Inconvénient : le poids (87 g) | Je chercherai moins lourd |
CORDE (RAPPEL DE 100M) | Cobra 2 | BEAL | La notoriété de la marque. Le prix (acheté en promo) | Très satisfait | Oui sans hésiter. Bien que de manière incompréhensible, le brin rouge est plus long que le brin bleu (sans l’ avoir coupé et dès l’ achat). |
CASQUE | Scarab | KONG | Le confort, Le poids (255g), la polyvalence (certification escalade, vtt canoë,…) | Très satisfait | Oui sans hésiter |
FRONTALE | Tikka RXP | PETZL | La puissance d’éclairage | Très satisfait : n véritable spot | Oui sans hésiter. En plus elle fonctionne avec une batterie rechargeable ce qui évite d’ acheter des piles. |
FRONTALE | Tikka RXP | PETZL | La puissance d’éclairage | Très satisfait : n véritable spot |