Comment bien préparer son voyage en Islande?

par Expérience Outdoor
Voyage en Islande

Qui n’a jamais rêvé de partir en voyage en Islande ? Voici un article pour vous aider de passer du rêve à la réalité:

Comment préparer son voyage en Islande ?

L’Islande est une invitation au voyage, par ses paysages exceptionnels, sa culture, sa nature sauvage, ses itinéraires de randonnées

Quand partir en Islande?

La meilleure période pour un voyage en Islande est sûrement entre Juin et Août, surtout si vous voulez randonner. Cela veut dire aussi que vous ne serez pas les seuls à profiter des longues journées éclairées.
Mai et Septembre sont 2 mois intéressants pour découvrir l’Islande mais la météo sera plus capricieuse et certaines randonnées parfois inaccessibles.
De Octobre à Avril, la période est idéale pour contempler les aurores boréales, mais nombreux sont les routes et itinéraires fermés. Et la nuit est omniprésente.
Voyage en Islande randonnée à LANDMANNALAUGAR

Avec qui partir en Islande ?

De nombreux tours opérateurs vous proposeront des séjours en Islande, des voyages à la carte, à thème.
Pour la randonnée, Terre D’Aventure reste un spécialiste du voyage incontournable.
Pour les voyages en liberté ou les voyages accompagnés, rendez-vous sur l’agence locale Guide to Iceland.

Hébergement : où dormir en Islande?

En Islande, vous devrez choisir votre hébergement entre hôtels, auberge de jeunesse, camping, refuge de montagne, pensions, bivouac,….
Votre choix se fera en fonction de votre budget (attention, chaque année les prix augmentent), des disponibilités (pensez à réserver bien à l’avance), de votre circuit (parfois vous n’aurez pas le choix du type d’hébergement) et de la saison puisque beaucoup d’hébergements sont fermés l’hiver.

Les visites incontournables de l’Islande :

Réaliser le traditionnel Trek de Landmannalaugar à Þórsmörk ou Skogar et profiter des sources d’eau chaude.

voyage en Islande: Landmannalaugar

Landmannalaugar CR : Charlène Bodin

Prendre un dernier bain dans les sources d’eau chaude du Blue Lagon avant de reprendre l’avion
Se rendre à JÖKULSÁRLÓN pour admirer les phoques qui nagent entre les « glaçons » flottants dans une eau limpide et salée.

JÖKULSÁRLÓN à découvrir lors d

Iceberg dans un lac glacé en Islande CR : Jonathan HEMERY

Vue sur le lac de glace JÖKULSÁRLÓN lors d

Vue sur le lac de glace CR : Jonathan HEMERY

Rêver sous les AURORES BORÉALES

Aurores boréales, voyage en Islande

Aurores boréales en Islande CR : Kévin ALINAT

Visiter la capitale Islandaise: REYKJAVÍK
Faire le tour de l’île en bus

Océan dans un fjord durant un voyage en Islande

Océan qui donne accès à un fjord CR: Mallaury ROUSSILLE

Se rendre à la LA PÉNINSULE DE SNÆFELLSNES quand la météo le permet et y découvrir l’entrée du centre de la terre selon Jules Verne.
Suivre la route du Cercle d’Or pour y voir la chute d’eau Gullfoss, les geysers de Geysir, et la plaine du parlement dans le Parc National de Thingvellir.

La météo en Islande :

Parfois, il fait beau, et même plusieurs heures de suite !… Mais c’est aussi pour cette météo que l’Islande nous attire autant, en offrant des images uniques.
Il y a quelques années, un Accompagnateur Moyenne Montagne qui y travaillait depuis 20 ans m’avait conseillé, pour l’organisation de mon séjour de 15 jours, de choisir 3 randonnées dans 3 lieux différents et de prendre la météo la veille du départ en Islande pour définir mon circuit.

voyage en Islande Þórsmörk

Þórsmörk CR : Charlène Bodin

Carte et topoguide pour préparer votre voyage en Islande :

Topo guide ISLANDE Edition LONELY PLANET pour préparer votre voyage en Islande
Le topoguide Islande « Les plus beaux itinéraires entre mer et montagne » de ROTHER
Guide ISLANDE Edition ROTHER pour préparer votre voyage en Islande
Acheter les cartes dans les stations de bus ou à REYKJAVÍK

Comment s’équiper pour un Trek en Islande :

Le choix de votre équipement dépendra bien évidement de la période où vous allez vous y rendre. Néanmoins, à part quelques variantes de matière et d’épaisseur, nous retrouverons une base commune. Tous les vêtements nommés, je les utilises dans de nombreuses activités outdoor et pour certains depuis les années 90: alpinisme, escalade, randonnée, voyage, vélo, pêche à la mouche, ….
Cette check-list proposée correspond à l’équipement utilisé lors du trek Landmannalaugar – Skogar réalisé en Août 2008 et d’autres randonnées et visites du pays sur une quinzaine de jours. Elle est aussi enrichie de mes différentes expériences personnelles, professionnelles et collectives au travers des nombreux retours d’expérience de nos clients aussi bien pour l’Islande que d’autres voyages.
Selon moi, le plus important n’est pas le logo de la marque sur votre vêtement mais le choix de la matière qui répond à une fonctionnalité… et bizarrement se sont souvent les mêmes marques qui utilisent les bonnes matières !
J’ai pour habitude de conseil de partir de la peau (base du ressenti) et ensuite d’aller vers les couches extérieures :

Sous-vêtements ou première couche pour un voyage en Islande :

leggings sous vetement ICEBREAKER

m oasis leggings ICEBREAKER

  • 1 t-shirt manche courte ou manche longue mais léger de type laine mérinos en 150 grammes ou synthétique light.
  • 1 t-shirt manche longue plus chaud en 200 grammes (ou 250 Grammes pour les femmes ou personnes frileuses) en laine mérinos ICEBREAKER, SMARTWOOL ou Warm chez ODLO par exemple.
  • Slips en laine mérinos ou synthétique.
  • Brassière en laine mérinos ou en synthétique pouvant aussi servir de haut de maillot de bain pour se baigner dans les sources d’eau chaude.
  • Chaussettes light ou mid + 1 paire plus chaude pour le soir.
  • 1 collant de type 200 grammes en laine mérinos ou Warm chez ODLO pouvant être mis sous un pantalon. Personnellement j’ai fait le choix d’un collant en Powerstretch plus épais et plus chaud. Il me sert à la fois comme bas de « pyjama  cocooning », de bas pour marcher avec, par exemple, un surpantalon.
  • Sous gant (gant en powerstretch PATAGONIA plus épais que des vrais sous-gants).
    • Bonnet fin (perso, en laine mérinos ARC’TERYX)
    • Un cache cou (en laine mérinos ARC’TERYX)

Seconde couche pour un voyage en Islande :

M monkey grid II jacket MOUNTAIN HARD WEAR

M monkey grid II jacket MOUNTAIN HARD WEAR

  • Pantalon de randonnée de type softshell pour avoir une excellente déperlance, stretch, résistant à l’abrasion, résistant au vent, sèche rapidement. Perso, j’ai fait le choix d’un pantalon en SCHOELLER 3XDRY car c’est un tissu exceptionnel pour les activités outdoor. J’ai pu trouver mon bonheur avec le Courmayeur pant de MAMMUT, une base des pantalons de montagne, et son prix se justifie.
  • Un sur-pantalon si possible avec zip intégrale pour le mettre et remettre rapidement, surtout quand on doit traverser des cours d’eau jusqu’au dessus du genou. Le Precip pant de MARMOT offre un excellent rapport/qualité prix. Perso, j’avais fait l’impasse sur un sur-pantalon, voulant tester les limites du pantalon en Schoeller. Je n’ai eu aucun regret sur mon choix mais je ne conseillerais pas à tout le monde cette expérience.
  • Une polaire. Pour ma part en PowerStretch car j’affectionne particulièrement ce tissu pour son confort, son élasticité, sa résistance au vent et à l’abrasion, durabilité ainsi que sa légèreté. (Attention il existe différents types de Powerstretch et je recommanderais le Powerstretch Pro)

Doudoune ou Troisième couche pour un voyage en Islande :

Une doudoune. Pour moi cela fait partie systématiquement du fond de sac (Lire cet article pour vous aider à bien choisir votre sac à dos pour un voyage en Islande)au même titre que ma trousse à pharmacie. Bien entendu, il faut bien choisir sa doudoune en fonction de ses différentes pratiques: été et/ou hiver, en plume ou en synthétique (si allergie ou pas). Perso, j’ai pris une doudoune MOUNTAIN HARDWEAR Phantom Jacket. Elle était parfaite pour apporter un max de chaleur pour un encombrement et un poids minimum.

Comment choisir une doudoune ?

Petite anecdote : sur le trek de Landmannalaugar, nous avons randonné avec un couple qui était chargé comme des mules (ils avaient ensuite un autre projet dans le nord plus « costaud » et ils s’acclimataient au pays). Le soir, je les voyais empiler des polaires les unes au-dessus des autres mais n’arrivaient pas vraiment à se détendre, d’autant plus qu’ils rageaient d’avoir laissé leur doudoune à la maison car ce n’était pas l’hiver !

Veste de protection ou Quatrième couche pour un voyage en Islande :

  • Veste Harshell ou protection contre la pluie, le vent et respirante. Indispensable en Islande, et c’est la première fois que ma veste était trempée sur une journée par une pluie intense et continue et un effort intense produisant de la transpiration. Le Gore-Tex était saturé et n’avait plus le temps de respirer. Une bonne nuit et la veste était sèche et opérationnelle. Je n’ai plus jamais revécu cette expérience. C’était une journée exceptionnelle, et en même temps je n’ai jamais regretté mon investissement dans mon Alpha SV Jacket de ARC’TERYX.

Voyage en Islande avec pluie à LANDMANNALAUGAR

Softshell ou Cinquième couche pour un voyage en Islande :

M psiphon sl pullover ARC

M psiphon sl pullover ARC’TERYX

Je l’appelle couche « batarde » car elle n’est pas essentielle et obligatoire mais je ne peux pas m’en passer :

  • Softshell ultra-light en sweat. Tellement fine que je l’oublie sur moi et ne me gêne pas. Je peux rajouter une doudoune ou une veste de montagne par-dessus. Elle cohabite parfaitement avec une polaire Powerstretch. A l’époque j’avais une Gamma LT Pullover de ARC’TERYX. Maintenant elle est remplacée par le modèle Psiphon SL Pull-over, dont j’ai la fierté d’avoir participé à son élaboration ! Donc vous comprendrez bien que je ne peux qu’aimer ce produit.

Autres équipements vestimentaires pour un voyage en Islande :

  • un deuxième bonnet
  • une deuxième paire de gant
  • une casquette, surtout utile pour les porteurs de lunettes quand il pleut.
  • lunettes de soleil, indispensables, les miennes sont adaptées à ma vue, une paire de Run de JULBO que j’utilise dans toutes mes activités outdoor.

L’ensemble de mes vêtements pour quinze jours doit tenir dans une housse chemise taille Médium de SEA TO SUMMIT. Cela m’aide à aller à l’essentiel et de ne pas me retrouver avec un sac trop lourd à porter.

Chaussures pour un voyage en Islande :

  • Pour ce voyage en Islande, j’avais une paire de Scout de LOWA, modèle montant tout en cuir et sans Gore-Tex. Chaussure parfaitement adaptée à mon pied, c’était la deuxième paire que j’ai utilisé dans mon activité professionnelle comme Accompagnateur Moyenne Montagne été comme hiver, et aussi lors de ma tentative de traversée de la Corse en hiver en raquette à neige (que j’ai dû abandonner au pied de Bavela pour cause de mauvais temps mais surtout au bout de 8 jours dans la neige. Pour le coup les chaussures n’arrivaient plus à sécher la nuit et j’avais peur de me geler les pieds).

Les chaussures sont une partie de l’équipement à ne pas négliger. C’est tout de même notre moyen de transport… et c’est pas facile de trouver chaussure à son pied !

  • Toujours une paire de sandale, pour m’aérer les pieds le soir (même à la mode Allemande avec mes grosses chaussettes !). Elles sont aussi super utiles pour traverser les torrents et rivières. Perso, j’utilise des sandales CHACO depuis 1996, et même si elles sont lourdes, je préfère m’alléger sur autre chose que de ne pas les emmener.

Sac à dos pour un voyage en Islande :

Sac à dos Aether 60 OSPREY

Sac à dos Aether 60 OSPREY

  • Pour ce voyage en Islande, j’avais décidé de changer mon sac à dos (mais aussi popote, réchaud, matelas et sac de couchage) pour gagner du poids (presque 3 kilo d’économiser au total. Comme quoi les marques tous les 10 ans font de superbes progrès !). Je délaisse donc, avec tristesse, mon compagnon de portage un sac LOWE ALPINE 70+20 par un Aether 60 litres (première génération) de OSPREY (1 kg de gagné). C’est celui qui convenait le mieux à mon dos. Tout est rentré ! Depuis mon LOWE ALPINE est à la retraite.

A la pesé de l’aéroport mon sac pesait 16,8 kg sans eau, ni gaz mais avec un appareil photo imposant et une tente de 3 kg.

Quelques conseils à lire pour bien choisir son sac à dos

  • Rain cover obligatoire. Perso, j’avais investi dans les modèles OSPREY et DEUTER. Sans hésiter, je vous conseille de prendre le raincover ultralight OSPREY, mieux fini, surtout quand il y a du vent.

Dans tous les cas, je conseille de protéger son équipement sensible à l’humidité (appareil photo, tablette, sac de couchage et doudoune en plume…) avec un sac étanche directement à l’intérieur du sac. L’eau s’infiltre de partout surtout aidé par le vent.

  • En ville, j’avais confectionné une sacoche avec le haut du sac à dos, 2 sangles et 2 mousquetons. Depuis certains sacs à dos proposent une ceinture ventrale amovible ou pouvant transformer le rabat du haut du sac à dos en banane.

Couchage pour un voyage en Islande :

Taie d

Taie d’oreiller ultralite

  • Tente : pas de compromis, j’avais une Asgard de MSR équivalent à la Fury mais plus spacieuse. Tente 4 saisons, et heureusement, car avec les conditions météo cela était réconfortant et reposant d’avoir un vrai « toit ». Aucun regret d’avoir porté 3 kg.
  • Une couverture de survie plastifiée, utilisée tous les soirs comme footprint pour protéger la tente de l’humidité et des aspérités du sol.
  • Sac de couchage en plume autour de 0°C avec Zero 350 de MOUNTAIN EQUIPMENT, parfait pour moi. En revanche pour les gens frileux, je conseillerai un sac de couchage confort à -5°C et/ou de rajouter un sac à viande en Thermolite de SEA TO SUMMIT.
  • Sac à viande en soie, que j’utilise depuis les années 90, confectionné par mes soins avec mes talents de « couturier », aussi bien en montagne, voyage, camion ou quand je dors chez des amis pour éviter de laver les draps après seulement une nuit.
  • Une taie d’oreiller en soie, idem confection perso, dans laquelle je range ma doudoune ou ma polaire. Ça fait des années que je demande aux marques d’en fabriquer une avec des chutes de sac à viande en soie. Depuis peu,Il y a THERMAREST qui en propose en ultralight.
  • Tapis de sol : j’utilise un matelas « autogonflant » THERMAREST, le Prolight en taille Small, ce qui me fait tête-genou. J’utilise mon sac à dos vide pour le reste de mes jambes. Je gagne du poids (j’en avais perdu avec mes lourdes sandales) et du volume. Ce n’est pas le plus épais mais je n’ai pas rencontré de problème de froid en Islande. En revanche, dans d’autres expériences hivernales cela a été juste.

Nourriture durant votre voyage en Islande :

Repas lyophilisé au curry de porc MX3

Repas lyophilisé au curry de porc MX3

  • Popote : si on veut vraiment économiser du poids le choix de la popote est stratégique. De plus cela fait partie des investissements durables, alors autant faire le bon choix dès le départ. Pour ma part, j’avais opté pour une gamelle en titane de MSR. Ultra léger et ultra cher mais avec du recul c’est un investissement que je ne regrette pas.
  • Couverts : après avoir investi dans une popote en titane, j’en ai fait autant dans les couverts en titane de MSR.
  • Réchaud : habituellement, j’utilisais dans mes voyages un réchaud essence le Whisperlite de MSR. Mais pour ce voyage, j’ai opté pour un réchaud à gaz le Crux de OPTIMUS. Super produit qui se plie et se range dans le creux d’une cartouche de gaz. Puissant et léger.
  • Gaz : cartouche de gaz PRIMUS, achetée dans l’auberge de jeunesse de REYKJAVÍK
  • Gourde : poche à eau PLATYPLUS, rien à redire, une base
  • Alimentation : Nous avons apporté de France de la semoule, des vivres de courses, de la soupe et quelques plats lyophilisés VOYAGER. Puis nous avons acheté du poisson séché que l’on trouve pratiquement partout et quelques autres denrées pour le trek

Autres équipements pour votre voyage en Islande :

Batons de randonnée KOHLA TIROL

Adventure tour 3 brins s-lock KOHLA TIROL

  • Bâtons de marche : indispensables pour la randonnée de Landmannalaugar, à la fois pour prendre soin du corps, mais plus qu’utiles pour traverser les guets. J’utilise depuis 1999 une paire de Makalu de LEKI. C’est pareil, j’y ai mis le prix au départ mais c’est toujours une paire de bâtons de marche en excellent état.
  • Trousse à pharmacie : toujours une partie délicate, hésitant entre trop emmener ou s’improviser médecin et prendre le strict minimum. Bien entendu, dans ma trousse à pharmacie, je trouve ciseau, pince à épiler, élastoplasme, pansements, compresses et compresses imbibées d’alcool, couverture de survie, paracétamol, lame de bistouri, arnica en dosette homéopathique…
  • Couteau multifonctions : le Wave de LEATHERMAN est devenu un compagnon de voyage. Lourd mais efficace dans de nombreuses situations. Rien que de l’avoir est un gage de sécurité.
  • Briquet
  • Nécessaire pour coudre
  • Scotch duck tape : petit morceau que j’enroule et qui me sert pour réparer tente, doudoune, veste…
  • carte vitale, passeport, argent…..

Anecdote :

« Savez-vous comment on reconnait un Français en Islande (mais aussi dans d’autres pays) ?

Il est habillé en Quechua ! »
Raconté par un Allemand rencontré sur ce trek et qui pensait que j’étais Suisse!

Retour d’expérience de mon voyage en Islande :

Pour le Trek Landmannalaugar à Skogar, voici quelques éléments suite à mon expérience

Si vous prenez le bus reliant REYKJAVÍK – LANDMANNALAUGAR, arrivez vers midi, si la météo le permet et que vous avez du temps, je vous conseille de passer 1 ou 2 jours à randonner autour de Landmannalaugar. Le paysage est unique et il y a peu de mots pour décrire ce spectacle pour les yeux. J’ai regretté de ne pas y être rester plus longtemps. En plus, le soir vous pouvez profiter des sources d’eau chaude naturelles « rien que pour vous » . De plus cela permet aussi de randonner en décaler avec tous ceux qui se précipitent sur les sentiers dès la sortie du bus.
Si vous partez le lendemain matin de votre arrivée, ce que nous avons fait, vous pouvez faire les 2 étapes prévues en 1 seule.
Pour ceux qui veulent poursuivre jusqu’à Skogar, vous pouvez vous ravitailler un peu à Þórsmörk, profiter des sources d’eau chaude. Je vous conseille de marcher depuis l’arrêt de bus encore 1 à 2 heures pour réduire l’étape du lendemain, qui est longue et éprouvante si vous le faite en 1 seule traite. Si vous vous arrêtez au refuge intermédiaire, bien se renseigner pour la réservation et si vous pouvez poser la tente.
De magnifiques randonnées sont à faire autour du parc national de Skaftafell avec un spacieux camping.
Se rendre à la lagune glaciaire Jökulsárlón pour une visite en bateau entre les « icebergs », pour marcher autour de la lagune ou pour admirer le coucher de soleil miroiter dans les glaçons qui se jettent dans la mer.

Carnets de voyage en Islande :

Voici les récits de plusieurs randonnées d’alpinisme, spéléologie et découverte de l’Islande par des passionnés voulant partager leur expérience et vous donner l’envie de partir :

Trek en Islande

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